L’agence de la banque Cbao des Parcelles assainies a été, hier, le théâtre d’une vive altercation entre les clients, les agents et les policiers. Moussa Mbaye, client de la Cbao, explique, en effet, être arrivé à la banque pour faire une opération et avoir subi l’inacceptable. « J’ai trouvé un client qui avait par devers lui un ticket, en train d’être brutalisé par les vigiles. Je me suis interposé pour savoir ce qui se passe et ils m’ont renseigné que le gars avait pris un ticket et que son téléphone a sonné, il est parti répondre. Au retour, il a voulu rentrer dans la banque et on l’a bloqué à la porte.
Et moi, quand je suis arrivé, j’ai tiré la porte comme c’était à 15h 15mn et que la fermeture c’est à 16h. Mais on nous a tous refusé l’entrée. Et quand nous avons demandé ce qui s’est passé, ils n’ont pas voulu nous écouter. Pis, le vigile nous a injuriés », a-t-il narré.
Quand le chef de l’agence est venu, au lieu de leur expliquer le pourquoi ce traitement, il a préféré appeler la police. « Là , on a vu le commandant de la police des Parcelles avec plus de 20 éléments, comme si on était des délinquants alors que nous étions là -bas pour faire des opérations », se désole-t-il, avant de s’attrister : « est-ce que ces policiers qui nous ont chassés jusqu’à la route principale, nous ont malmenés comme si nous étions des voyous ou des bandits, ont le droit de nous traiter ainsi ? Est-ce qu’une banque a le droit de chasser de la sorte ses clients, sans aucune explication ? Je pense que non. C’est indigne d’une banque aussi prestigieuse comme que la Cbao ».
Du côté de la Cbao, un responsable que nous avons joint, n’a pas souhaité se prononcer. Mais il estime que ce récit des faits que narre le sieur Mbaye est si invraisemblable que, de son avis, « ça ne tient pas la route ».
Vox populi
Et moi, quand je suis arrivé, j’ai tiré la porte comme c’était à 15h 15mn et que la fermeture c’est à 16h. Mais on nous a tous refusé l’entrée. Et quand nous avons demandé ce qui s’est passé, ils n’ont pas voulu nous écouter. Pis, le vigile nous a injuriés », a-t-il narré.
Quand le chef de l’agence est venu, au lieu de leur expliquer le pourquoi ce traitement, il a préféré appeler la police. « Là , on a vu le commandant de la police des Parcelles avec plus de 20 éléments, comme si on était des délinquants alors que nous étions là -bas pour faire des opérations », se désole-t-il, avant de s’attrister : « est-ce que ces policiers qui nous ont chassés jusqu’à la route principale, nous ont malmenés comme si nous étions des voyous ou des bandits, ont le droit de nous traiter ainsi ? Est-ce qu’une banque a le droit de chasser de la sorte ses clients, sans aucune explication ? Je pense que non. C’est indigne d’une banque aussi prestigieuse comme que la Cbao ».
Du côté de la Cbao, un responsable que nous avons joint, n’a pas souhaité se prononcer. Mais il estime que ce récit des faits que narre le sieur Mbaye est si invraisemblable que, de son avis, « ça ne tient pas la route ».
Vox populi