Jeudi et vendredi, en collaboration avec l’ESEA et l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), l’ASP a initié un atelier portant sur l’étude de la délinquance au Sénégal et sa cartographie ainsi que sur les contrats et diagnostics locaux de sécurité.
"La partie ouest de l’Afrique est devenue particulièrement l’une des sous-régions du continent les plus pauvres et les plus instables", indique la même source, citant les menaces asymétriques et la criminalité transnationale comme les trafics de drogues, de personnes, de pierres précieuses, etc.
Selon elle, le Sénégal n’échappe pas à cette nouvelle donne en matière de sécurité, lui-même déjà confronté à la violence.
La multiplication des cas de meurtres et d’assassinats dans la région de Dakar, les braquages et autres attaques à mains armées ainsi que le trafic de drogue et le vol de bétail, ont fini par augmenter le sentiment d’insécurité qui habite les populations, renseigne-t-ellle.
"L’Etat, il est vrai, a pris une batterie de mesures pour apporter des réponses adéquates à l’insécurité. Parmi celles-ci figure, entre autres, la création de l’ASP, qui est chargée de traduire en actes concrets la gouvernance sécuritaire de proximité", souligne-t-on dans le même document.
Dans cette dynamique, 10 000 ASP ont été recrutés et déployés dans toutes les circonscriptions administratives et collectivités territoriales du pays.
Dans cette perspective, la direction générale de l’ASP a décidé, dans le cadre de ses missions, de réaliser une enquête nationale assortie de la cartographie de la délinquance. Elle sera confiée à l’ESEA de l’université de Dakar, dans le cadre du plan d’action 2017, de la convention de partenariat qui lie les deux institutions.
APS
"La partie ouest de l’Afrique est devenue particulièrement l’une des sous-régions du continent les plus pauvres et les plus instables", indique la même source, citant les menaces asymétriques et la criminalité transnationale comme les trafics de drogues, de personnes, de pierres précieuses, etc.
Selon elle, le Sénégal n’échappe pas à cette nouvelle donne en matière de sécurité, lui-même déjà confronté à la violence.
La multiplication des cas de meurtres et d’assassinats dans la région de Dakar, les braquages et autres attaques à mains armées ainsi que le trafic de drogue et le vol de bétail, ont fini par augmenter le sentiment d’insécurité qui habite les populations, renseigne-t-ellle.
"L’Etat, il est vrai, a pris une batterie de mesures pour apporter des réponses adéquates à l’insécurité. Parmi celles-ci figure, entre autres, la création de l’ASP, qui est chargée de traduire en actes concrets la gouvernance sécuritaire de proximité", souligne-t-on dans le même document.
Dans cette dynamique, 10 000 ASP ont été recrutés et déployés dans toutes les circonscriptions administratives et collectivités territoriales du pays.
Dans cette perspective, la direction générale de l’ASP a décidé, dans le cadre de ses missions, de réaliser une enquête nationale assortie de la cartographie de la délinquance. Elle sera confiée à l’ESEA de l’université de Dakar, dans le cadre du plan d’action 2017, de la convention de partenariat qui lie les deux institutions.
APS