Aux termes d’un procès à très haute tension, Nicholas Ninow n’a pas cherché à résister devant les juges de la Haute Cour de Pretoria, lundi. Lui qui avait avoué avoir violé la fillette la semaine dernière, a été reconnu coupable de viol, de possession de drogue et d’avoir entravé le bon fonctionnement de la justice.
L’homme de 21 ans ne connaît pas encore sa sentence, qui sera annoncée dans un mois dans le même tribunal. La porte-parole de l’Autorité nationale des poursuites a déjà assuré que l’État plaiderait pour une peine maximale: l’emprisonnement à perpétuité. Seul problème, les juges n’ont pas réussi à prouver si l’acte était prémédité ou non.
La salle, elle, était pleine à craquer, comme il y a un an lors de sa première comparution. Avec notamment la présence de représentants politiques de l’ANC et de l’EFF. «La perpétuité sinon rien», répétaient les partisans des deux partis. Tout comme plusieurs ONG qui ont aussi assisté au jugement dans une ambiance électrique.
Nul doute qu’ils seront encore tous présents dans un mois pour la sentence de ce procès très symbolique, dans une Afrique du Sud toujours déchirée par les tensions raciales.
RFI
L’homme de 21 ans ne connaît pas encore sa sentence, qui sera annoncée dans un mois dans le même tribunal. La porte-parole de l’Autorité nationale des poursuites a déjà assuré que l’État plaiderait pour une peine maximale: l’emprisonnement à perpétuité. Seul problème, les juges n’ont pas réussi à prouver si l’acte était prémédité ou non.
La salle, elle, était pleine à craquer, comme il y a un an lors de sa première comparution. Avec notamment la présence de représentants politiques de l’ANC et de l’EFF. «La perpétuité sinon rien», répétaient les partisans des deux partis. Tout comme plusieurs ONG qui ont aussi assisté au jugement dans une ambiance électrique.
Nul doute qu’ils seront encore tous présents dans un mois pour la sentence de ce procès très symbolique, dans une Afrique du Sud toujours déchirée par les tensions raciales.
RFI