Il a expérimenté la colère de ses compatriotes jeudi dans la province de Limpopo au nord du pays. Jacob Zuma a été tout simplement hué par une foule en colère lors d’un meeting de son parti l’ANC. Les membres de la communauté de Malamulele située dans la province de Limpopo au nord du pays réclament depuis des années aux autorités locales de ne plus dépendre de la municipalité située à 35 km et d’être les maîtres d’eux-mêmes.
En répondant à cette demande, Jacob Zuma a provoqué la colère de ses habitants. « Le problème est maintenant dans les mains de ceux dans lesquelles il est censé se trouver afin qu’il puisse être résolu. C’est ce que nous pouvons dire. Nous ne pouvons pas dire plus que ça », a dit le président sud-africain. Une réponse qui a provoqué les huées de la foule et le départ précipité de la population du lieu du meeting ainsi que des jets de pierre sur les véhicules officiels.
Un malheureux incident qui intervient quelques semaines après le scandale de la rénovation de la résidence privée du président Zuma à Nkandla qui a été effectué aux frais du contribuable pour 246 millions de rands. Jacob Zuma (72 ans), qui brigue un second mandat est en plein tourment à 3 semaines des élections générales car fréquemment au cœur des scandales de corruption malgré la notoriété de son parti historique le Congrès national africain (ANC). A cela, il faut ajouter la fronde en cours dans son parti où des anciens ministres ont appelé à un vote sanction contre l’ANC pour dire non à la corruption et au népotisme. © Oeildafrique.com
En répondant à cette demande, Jacob Zuma a provoqué la colère de ses habitants. « Le problème est maintenant dans les mains de ceux dans lesquelles il est censé se trouver afin qu’il puisse être résolu. C’est ce que nous pouvons dire. Nous ne pouvons pas dire plus que ça », a dit le président sud-africain. Une réponse qui a provoqué les huées de la foule et le départ précipité de la population du lieu du meeting ainsi que des jets de pierre sur les véhicules officiels.
Un malheureux incident qui intervient quelques semaines après le scandale de la rénovation de la résidence privée du président Zuma à Nkandla qui a été effectué aux frais du contribuable pour 246 millions de rands. Jacob Zuma (72 ans), qui brigue un second mandat est en plein tourment à 3 semaines des élections générales car fréquemment au cœur des scandales de corruption malgré la notoriété de son parti historique le Congrès national africain (ANC). A cela, il faut ajouter la fronde en cours dans son parti où des anciens ministres ont appelé à un vote sanction contre l’ANC pour dire non à la corruption et au népotisme. © Oeildafrique.com