Selon nos informations, le suspect, Y. Diatta, est toujours dans le régime de la garde-à -vue pour les besoins de l’enquête. D’après nos interlocuteurs, il est âgé d’une trentaine d’années. Il y a quelques années, il a fait le service militaire. C’est de là qu’il a été initié aux premiers soins, comme toute personne qui passe par la ‘’Grande muette’’.
Quand il a été libéré pour des raisons que nos sources n’ont pas voulu nous dire, il a pris goût à la médecine. Ainsi, poursuivent nos informations, il est parvenu à s’établir de faux diplômes d’infirmier dans le but d’exercer cette profession et de se faire des sous. Des autorités administratives ayant eu vent de cela, ont essayé de le ramener à la raison, à plusieurs raisons. À chaque fois, il promettait d’arrêter sans jamais le faire. Puisque chaque chose a une fin, il a fini par être cravaté, à sa grande surprise, lundi dernier.
L’enquête diligentée par la gendarmerie de Samine, a permis de savoir qu’il a ouvert une clinique, depuis 2014. Autrement dit, qu’il exerce illicitement cette fonction depuis huit ans. L’on nous signale aussi que dans le souci de tromper tout le monde, il est parvenu à confectionner un dossier de faux diplômes pour se légitimer.
Toutefois, à ce stade de l’enquête, on ne connaît pas encore le nombre de patients consultés, depuis lors, et s’il a fait des victimes dans le cadre de l’exercice de ce métier. Ce qui est sûr, aux yeux des enquêteurs, est que M. Diatta n’a aucune qualification pour exercer le métier d’infirmier.
À la limite, il constituait un danger public pour les populations de cette partie du Packao. Ayant eu l’information qu’un faux infirmier est dans leur secteur de compétence depuis un certain temps, les gendarmes de la brigade de Samine se sont mis à ses trousses.
Après recoupements et investigations, ils sont parvenus à mettre la main sur lui. La perquisition de sa maison où il exerçait illégalement la médecine, renseignent nos sources, a permis aux hommes de l’adjudant Guèye, le patron de la brigade de gendarmerie de Samine, de trouver un important lot de matériel médical.
On peut citer, entre autres, deux blouses de protection jetables, 21 pinces, trois tensiomètres, deux stéthoscopes, des blocs d'ordonnance de 100 pages, deux registres de consultation, des thermoflashs et thermomètres. D'après toujours nos sources, il sera présenté au parquet aujourd’hui dans la journée, après 96 heures de garde-à -vue. On lui reproche les faits de faux et usage de faux, d’usurpation d'identité, d’exercice illégal de la médecine, de mis en danger de la vie d'autrui.
Quand il a été libéré pour des raisons que nos sources n’ont pas voulu nous dire, il a pris goût à la médecine. Ainsi, poursuivent nos informations, il est parvenu à s’établir de faux diplômes d’infirmier dans le but d’exercer cette profession et de se faire des sous. Des autorités administratives ayant eu vent de cela, ont essayé de le ramener à la raison, à plusieurs raisons. À chaque fois, il promettait d’arrêter sans jamais le faire. Puisque chaque chose a une fin, il a fini par être cravaté, à sa grande surprise, lundi dernier.
L’enquête diligentée par la gendarmerie de Samine, a permis de savoir qu’il a ouvert une clinique, depuis 2014. Autrement dit, qu’il exerce illicitement cette fonction depuis huit ans. L’on nous signale aussi que dans le souci de tromper tout le monde, il est parvenu à confectionner un dossier de faux diplômes pour se légitimer.
Toutefois, à ce stade de l’enquête, on ne connaît pas encore le nombre de patients consultés, depuis lors, et s’il a fait des victimes dans le cadre de l’exercice de ce métier. Ce qui est sûr, aux yeux des enquêteurs, est que M. Diatta n’a aucune qualification pour exercer le métier d’infirmier.
À la limite, il constituait un danger public pour les populations de cette partie du Packao. Ayant eu l’information qu’un faux infirmier est dans leur secteur de compétence depuis un certain temps, les gendarmes de la brigade de Samine se sont mis à ses trousses.
Après recoupements et investigations, ils sont parvenus à mettre la main sur lui. La perquisition de sa maison où il exerçait illégalement la médecine, renseignent nos sources, a permis aux hommes de l’adjudant Guèye, le patron de la brigade de gendarmerie de Samine, de trouver un important lot de matériel médical.
On peut citer, entre autres, deux blouses de protection jetables, 21 pinces, trois tensiomètres, deux stéthoscopes, des blocs d'ordonnance de 100 pages, deux registres de consultation, des thermoflashs et thermomètres. D'après toujours nos sources, il sera présenté au parquet aujourd’hui dans la journée, après 96 heures de garde-à -vue. On lui reproche les faits de faux et usage de faux, d’usurpation d'identité, d’exercice illégal de la médecine, de mis en danger de la vie d'autrui.