Accusée par certains de ses collègues du Conseil municipal d’avoir décaissé frauduleusement 12 millions FCfa en lieu et place de 3 millions de francs Cfa autorisés par le Conseil municipal dans le cadre de l’aide destinée à la communauté catholique pour les besoins de la fête de Pâques, la maire de la commune de la Patte d’Oie a réagi avant hier, renseigne "Sud Quotidien".
Lors d’un point de presse, la responsable nationale des femmes de Pastef a expliqué que contrairement à ce que disent ses détracteurs, ce montant couvrait les dépenses liées aux aides des fêtes de Pâques, de Korité, les participations diverses pour l’appui aux imams et délégués de quartiers, pour les conférences religieuses et la célébration de la nuit du Laylatul Khadri.
Rebondissement dans l’affaire supposée de détournement de 12 millions FCfa destinés au soutien de la communauté catholique pour les besoins de la fête de Pâques à la commune de Patte d’oie. Accusée par certains de ses collègues du Conseil municipal, d’avoir décaissé frauduleusement 12 millions FCfa, en lieu et place de la somme de 3 millions de francs Cfa autorisée par le Conseil municipal dans le cadre de l’aide destinée à la communauté catholique lors de la fête de Pâques, la maires de la commune de la Patte d’Oie, Maïmouna Dièye, sort enfin de son mutisme. Face aux journalistes hier, jeudi 7 juillet, lors d’un point de presse pour donner sa version des faits, la responsable nationale des femmes de Pastef a formellement démenti ces accusations portées contre elle.
Rappelant d’emblée qu’elle est le premier maire élu directement (suffrage direct) par les populations de la Patte d’Oie pour un mandat de 5 ans, Mme Maïmouna Dièye dit s’être « engagée auprès de ses concitoyens, pour une gestion ambitieuse, participative, inclusive et transparente ». Poursuivant son propos, elle affirme qu’elle « ne céderait à aucune forme de pression et surtout pas, de la part d’un lobby politique local, dont les méthodes sont maintenant connues de tous » et qu’elle va tenir son engagement auprès de ses administrés, « quoi qu’il m’en coûte ».
Donnant sa version des faits au sujet de cette affaire de 12 millions FCfa, elle explique que ce montant, contrairement à ce qui est dit, couvrait les dépenses liées aux aides des fêtes de Pâques, de Korité, les participations diverses pour l’appui aux imams et délégués de quartiers, pour les conférences religieuses et la célébration de la nuit du Laylatul khadri. Mieux, elle précise qu’elle a agi en suivant la délibération de l’équipe sortante, qui a voté un budget de plus de 1 012 935 21 FCfa pour l’année 2022, dont trente millions (30 millions) réservés à l’aide aux indigents. « Dans le cadre de l’exécution du budget qui engage le Maire, les collaborateurs et particulièrement la commission sociale, ont été consultés sur les montants à allouer tant pour les aides des fêtes de Pâques que de Korité, les participations diverses pour l’appui aux imams et délégués de quartiers, pour les conférences religieuses et la célébration de la nuit du Laylatul khadri. Ceci, pour un montant global de 12 millions de francs Cfa », s’est-elle défendue, en précisant que tous les justificatifs sont disponibles pour les corps de contrôle, au besoin.
Poursuivant ses explications, elle explique au sujet de la liste partagée dans les réseaux sociaux, que c’est « au niveau de la Perception qu’ils ont convenu, pour ne pas engendrer une trop lourde charge de travail et ralentir la procédure avec des centaines voire des milliers, de regrouper les bénéficiaires, en émettant quarante (40) mandats de trois cents mille (300.000) francs CFA tirés dans le lot des demandeurs. D’où la liste diffusée pour asseoir les fausses accusations».
Lors d’un point de presse, la responsable nationale des femmes de Pastef a expliqué que contrairement à ce que disent ses détracteurs, ce montant couvrait les dépenses liées aux aides des fêtes de Pâques, de Korité, les participations diverses pour l’appui aux imams et délégués de quartiers, pour les conférences religieuses et la célébration de la nuit du Laylatul Khadri.
Rebondissement dans l’affaire supposée de détournement de 12 millions FCfa destinés au soutien de la communauté catholique pour les besoins de la fête de Pâques à la commune de Patte d’oie. Accusée par certains de ses collègues du Conseil municipal, d’avoir décaissé frauduleusement 12 millions FCfa, en lieu et place de la somme de 3 millions de francs Cfa autorisée par le Conseil municipal dans le cadre de l’aide destinée à la communauté catholique lors de la fête de Pâques, la maires de la commune de la Patte d’Oie, Maïmouna Dièye, sort enfin de son mutisme. Face aux journalistes hier, jeudi 7 juillet, lors d’un point de presse pour donner sa version des faits, la responsable nationale des femmes de Pastef a formellement démenti ces accusations portées contre elle.
Rappelant d’emblée qu’elle est le premier maire élu directement (suffrage direct) par les populations de la Patte d’Oie pour un mandat de 5 ans, Mme Maïmouna Dièye dit s’être « engagée auprès de ses concitoyens, pour une gestion ambitieuse, participative, inclusive et transparente ». Poursuivant son propos, elle affirme qu’elle « ne céderait à aucune forme de pression et surtout pas, de la part d’un lobby politique local, dont les méthodes sont maintenant connues de tous » et qu’elle va tenir son engagement auprès de ses administrés, « quoi qu’il m’en coûte ».
Donnant sa version des faits au sujet de cette affaire de 12 millions FCfa, elle explique que ce montant, contrairement à ce qui est dit, couvrait les dépenses liées aux aides des fêtes de Pâques, de Korité, les participations diverses pour l’appui aux imams et délégués de quartiers, pour les conférences religieuses et la célébration de la nuit du Laylatul khadri. Mieux, elle précise qu’elle a agi en suivant la délibération de l’équipe sortante, qui a voté un budget de plus de 1 012 935 21 FCfa pour l’année 2022, dont trente millions (30 millions) réservés à l’aide aux indigents. « Dans le cadre de l’exécution du budget qui engage le Maire, les collaborateurs et particulièrement la commission sociale, ont été consultés sur les montants à allouer tant pour les aides des fêtes de Pâques que de Korité, les participations diverses pour l’appui aux imams et délégués de quartiers, pour les conférences religieuses et la célébration de la nuit du Laylatul khadri. Ceci, pour un montant global de 12 millions de francs Cfa », s’est-elle défendue, en précisant que tous les justificatifs sont disponibles pour les corps de contrôle, au besoin.
Poursuivant ses explications, elle explique au sujet de la liste partagée dans les réseaux sociaux, que c’est « au niveau de la Perception qu’ils ont convenu, pour ne pas engendrer une trop lourde charge de travail et ralentir la procédure avec des centaines voire des milliers, de regrouper les bénéficiaires, en émettant quarante (40) mandats de trois cents mille (300.000) francs CFA tirés dans le lot des demandeurs. D’où la liste diffusée pour asseoir les fausses accusations».