"Il faut que le Sénégal s'ouvre sur l'international. Nous avons ratifié toutes les conventions, il faudrait que, quand la justice internationale donne un point de vue, qu'on s'y penche et qu'on essaie de tirer le maximum de situation positive possible pour le pays et pour le peuple sénégalais", a-t-elle laissé entendre.
Venue prendre part aux activités culturelles de la collectivité léboue du village de Sendou, la conseillère du président de la République s'est aussi exprimée, sans détours, sur la libération d'Oumar Sarr, coordonnateur du Pds, informe le journal. A en croire Mme Sidibé, elle participe à la décrispation de l'espace politique. "Le Sénégal doit être un havre de paix si nous voulons nous développer et atteindre l'émergence", a-t-elle fait savoir.
Revenant à la charge, elle soutiendra : "Il ne faut pas que Karim Wade soit le seul prisonnier". Elle relève que les autres dossiers doivent être examinés. "Nous avons le sentiment qu'il y'a beaucoup de personnes dont les dossiers méritent d'être vus par la justice et qui sont en situation d'instance", assure la juriste.
Venue prendre part aux activités culturelles de la collectivité léboue du village de Sendou, la conseillère du président de la République s'est aussi exprimée, sans détours, sur la libération d'Oumar Sarr, coordonnateur du Pds, informe le journal. A en croire Mme Sidibé, elle participe à la décrispation de l'espace politique. "Le Sénégal doit être un havre de paix si nous voulons nous développer et atteindre l'émergence", a-t-elle fait savoir.
Revenant à la charge, elle soutiendra : "Il ne faut pas que Karim Wade soit le seul prisonnier". Elle relève que les autres dossiers doivent être examinés. "Nous avons le sentiment qu'il y'a beaucoup de personnes dont les dossiers méritent d'être vus par la justice et qui sont en situation d'instance", assure la juriste.