La Cour qui avait statué sur l’affaire de la tuerie de Bofa Bayotte avait eu la main lourde contre trois (3) des 15 accusés dans cette affaire. Le journaliste René Capin Bassene, le chargé de mission du Mfdc Omar Ampoi Bodian et le chef rebelle César Atoute Badiate (jugé par contumace), déclarés tous coupables, avaient été condamnés à la réclusion criminelle à perpétuité.
Près de 5 mois après le lourd verdict, plus précisément le lundi 13 juin dernier, le journaliste René Capin Bassène, qui a toujours réfuté les accusations de son implication dans cette affaire, se signale par une grève de la faim illimitée. Cela, à compter de ce lundi 14 novembre 2022.
Sur les raisons de cet arrêt volontaire de s’alimenter, les proches du journaliste informent que celui qui avait été considéré comme le cerveau de cette tuerie ne comprend toujours pas pourquoi toutes les personnes avec lesquelles il avait été arrêté et accusé par le procureur de complicité de meurtre sont aujourd’hui libérées, alors que lui il croupit toujours en prison.
Pis, René Capin Bassène condamné de la même peine de réclusion criminelle à perpétuité que le chef rebelle César Atoute Badiate, ne s’explique pas comment le gouvernement a pu signer un accord de paix avec l’un des condamnés au même titre que lui dans cette même affaire, au moment où lui il purge sa peine.
Ce qui aurait le plus choqué et ulcéré le journaliste, selon toujours ses proches, c’est le fait qu’au moment du procès, le gouvernement initie en parallèle des pourparlers avec celui qui est supposé être son complice dans cette affaire d’association de malfaiteurs, de tentative d’assassinat, de participation à un mouvement insurrectionnel, pour reprendre les charges retenues contre eux trois. Encore que, durant cette période, un mandat d’arrêt international avait été lancé contre le chef rebelle.
Fort de tout cela et estimant qu’il est l’agneau du sacrifice dans cette affaire qu’il rejette en bloc, René Capin Bassène a décidé d’observer une grève de la faim illimitée pour se faire entendre. Les tentatives de l’en dissuader, initiées par ses proches, n’y feront rien.
Au moment du verdict, René Capin Bassène, par la voix de son avocat Me Ciré Clédor Ly, avait fait comprendre qu’il excluait tout appel après cette lourde condamnation. Son autre coaccusé, Omar Ampoi Bodian avait pour sa part envisagé de faire appel.
Deux de leurs coaccusés, à savoir Abdoulaye Diédhiou et Alioune Badara Sané s’en étaient sortis avec une peine de 6 mois de prison avec sursis et étaient rentrés chez eux. Ils avaient été condamnés pour détention illégale d’armes. Le juge avait par ailleurs acquitté les huit autres co-prévenus dans cette affaire dite « Boffa Bayotte », du nom du village où avaient été exécuté froidement 14 bûcherons.
Près de 5 mois après le lourd verdict, plus précisément le lundi 13 juin dernier, le journaliste René Capin Bassène, qui a toujours réfuté les accusations de son implication dans cette affaire, se signale par une grève de la faim illimitée. Cela, à compter de ce lundi 14 novembre 2022.
Sur les raisons de cet arrêt volontaire de s’alimenter, les proches du journaliste informent que celui qui avait été considéré comme le cerveau de cette tuerie ne comprend toujours pas pourquoi toutes les personnes avec lesquelles il avait été arrêté et accusé par le procureur de complicité de meurtre sont aujourd’hui libérées, alors que lui il croupit toujours en prison.
Pis, René Capin Bassène condamné de la même peine de réclusion criminelle à perpétuité que le chef rebelle César Atoute Badiate, ne s’explique pas comment le gouvernement a pu signer un accord de paix avec l’un des condamnés au même titre que lui dans cette même affaire, au moment où lui il purge sa peine.
Ce qui aurait le plus choqué et ulcéré le journaliste, selon toujours ses proches, c’est le fait qu’au moment du procès, le gouvernement initie en parallèle des pourparlers avec celui qui est supposé être son complice dans cette affaire d’association de malfaiteurs, de tentative d’assassinat, de participation à un mouvement insurrectionnel, pour reprendre les charges retenues contre eux trois. Encore que, durant cette période, un mandat d’arrêt international avait été lancé contre le chef rebelle.
Fort de tout cela et estimant qu’il est l’agneau du sacrifice dans cette affaire qu’il rejette en bloc, René Capin Bassène a décidé d’observer une grève de la faim illimitée pour se faire entendre. Les tentatives de l’en dissuader, initiées par ses proches, n’y feront rien.
Au moment du verdict, René Capin Bassène, par la voix de son avocat Me Ciré Clédor Ly, avait fait comprendre qu’il excluait tout appel après cette lourde condamnation. Son autre coaccusé, Omar Ampoi Bodian avait pour sa part envisagé de faire appel.
Deux de leurs coaccusés, à savoir Abdoulaye Diédhiou et Alioune Badara Sané s’en étaient sortis avec une peine de 6 mois de prison avec sursis et étaient rentrés chez eux. Ils avaient été condamnés pour détention illégale d’armes. Le juge avait par ailleurs acquitté les huit autres co-prévenus dans cette affaire dite « Boffa Bayotte », du nom du village où avaient été exécuté froidement 14 bûcherons.