L’espoir n’est pas perdu pour Assane Douf, l’insulteur et ennemi n°1 de l’Etat du Sénégal. L’activiste sénégalais peut encore compter sur ses compatriotes, qui sont en train de remuer ciel et terre pour empêcher son expulsion des Etats-Unis.
Selon L’As, le cercle des jeunes Sénégalais, notamment, est en passe de lui trouver un avocat, lequel a accepté de se constituer pour sa défense. La robe noire aurait réclamé, rien que pour l’ouverture du dossier, 5000 dollars Us, environs 3 millions de francs Cfa.
Aux Etats-Unis pour s’attacher les services d’un avocat, il débourser au bas mot, un peu plus de 15.000 dollars équivalent à un peu près de huit millions de francs Cfa.
Selon certains sources cité par le journal, si l’avocat a accepté ce prix jugé dérisoire pour ses honoraire, c’est parce que qu’il sait que son client n’a aucune chance de s’en tirer. En clair, Assane Diouf risque la déportation vers son pays. Et si tel est le cas, il risque gros. Car, tout porte à croire, que les autorités qu’il insultait dans ses nombreuse sorties à travers « Facebook » et « Youtube » ont fini de lui dérouler une batterie de délits, à le maintenir aussi longtemps que possible en prison.
L'AS
Selon L’As, le cercle des jeunes Sénégalais, notamment, est en passe de lui trouver un avocat, lequel a accepté de se constituer pour sa défense. La robe noire aurait réclamé, rien que pour l’ouverture du dossier, 5000 dollars Us, environs 3 millions de francs Cfa.
Aux Etats-Unis pour s’attacher les services d’un avocat, il débourser au bas mot, un peu plus de 15.000 dollars équivalent à un peu près de huit millions de francs Cfa.
Selon certains sources cité par le journal, si l’avocat a accepté ce prix jugé dérisoire pour ses honoraire, c’est parce que qu’il sait que son client n’a aucune chance de s’en tirer. En clair, Assane Diouf risque la déportation vers son pays. Et si tel est le cas, il risque gros. Car, tout porte à croire, que les autorités qu’il insultait dans ses nombreuse sorties à travers « Facebook » et « Youtube » ont fini de lui dérouler une batterie de délits, à le maintenir aussi longtemps que possible en prison.
L'AS