Le président de la République, Macky Sall a, comme le veut la tradition, prononcé son discours de nouvel an. À cette occasion, le chef de l’Etat a condamné avec fermeté la violence faite aux femmes, aux filles et aux enfants.
D’entrée, le chef de l’Etat précise que « la protection de la condition féminine et de l’enfance reste un défi de notre temps. Nous devons mettre fin à la violence faite aux femmes et aux filles, et mieux protéger l’enfance ».
Car, explique-t-il,« les femmes, les filles, sont nos mères, nos épouses, nos enfants. Elles constituent l’autre moitié sans laquelle notre tissu social est incomplet et méconnaissable. Dès lors, violenter une femme, violenter un enfant, c’est froisser et abîmer notre tissu social ».
« C’est pourquoi, souligne-t-il, j’ai soumis à l’Assemblée nationale, qui l’a adopté hier (lundi 30 décembre) à l’unanimité, un projet de loi qui criminalise désormais les actes de viol et de pédophilie. Ainsi, les peines applicables à ces actes ont été considérablement alourdies, sans possibilité de sursis ».
Ne s’arrêtant pas là , le président de la République informe de la poursuite de la lutte contre les enfants de la rue. « Je suis tout autant déterminé à poursuivre la lutte contre le phénomène des enfants de la rue et leur maltraitance », dit-il.
D’entrée, le chef de l’Etat précise que « la protection de la condition féminine et de l’enfance reste un défi de notre temps. Nous devons mettre fin à la violence faite aux femmes et aux filles, et mieux protéger l’enfance ».
Car, explique-t-il,« les femmes, les filles, sont nos mères, nos épouses, nos enfants. Elles constituent l’autre moitié sans laquelle notre tissu social est incomplet et méconnaissable. Dès lors, violenter une femme, violenter un enfant, c’est froisser et abîmer notre tissu social ».
« C’est pourquoi, souligne-t-il, j’ai soumis à l’Assemblée nationale, qui l’a adopté hier (lundi 30 décembre) à l’unanimité, un projet de loi qui criminalise désormais les actes de viol et de pédophilie. Ainsi, les peines applicables à ces actes ont été considérablement alourdies, sans possibilité de sursis ».
Ne s’arrêtant pas là , le président de la République informe de la poursuite de la lutte contre les enfants de la rue. « Je suis tout autant déterminé à poursuivre la lutte contre le phénomène des enfants de la rue et leur maltraitance », dit-il.