NEW YORK- Wall Street a fini la séance en hausse mercredi, encouragée par l'envolée des cours du pétrole et la progression des Bourses européennes, en dépit de mauvais indicateurs sur les Etats-Unis: le Dow Jones a gagné 0,42% et le Nasdaq 0,68%.
Selon des résultats définitifs à la clôture, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a gagné 75,91 points à 18.112,61 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 33,73 points à 5.011,02 points.L'indice élargi S&P 500, sur lequel se basent de nombreux investisseurs, a gagné 0,51%, soit 10,79 points, pour terminer à 2.106,63 points. Un peu plus tôt, les cours du brut avaient terminé la séance sur un bond de 3,10 dollars, à 56,39 dollars le baril de pétrole WTI coté à New York, renouant avec des niveaux qu'on n'avait plus vus depuis quatre mois. Un peu plus tôt, les cours du brut avaient terminé la séance sur un bond de 3,10 dollars, à 56,39 dollars le baril de pétrole WTI coté à New York, renouant avec des niveaux qu'on n'avait plus vus depuis quatre mois. Cette envolée, liée à l'annonce d'un petit reflux de la production américaine et au ralentissement de l'abondement des réserves américaines en pétrole brut, a bénéficié aux valeurs liées à l'énergie, qui pèsent lourd dans la cote.
-OUAGADOUGOU-Selon le rapport 2014 de l’Institut Fraser du Canada, le Burkina Faso est la sixième destination appréciée par les investisseurs miniers en Afrique, derrière la Namibie, le Bostwana, la Zambie, le Maroc et le Ghana, a appris APA auprès du ministère en charge des mines.
Le rapport a évalué la façon dont le potentiel minier et les facteurs de politique publique tels que la fiscalité et l'incertitude réglementaire affectent les investissements dans l'industrie extractive.Le classement des pays est fait sur la base de l'Index d'attractivité de l'investissement et le Burkina Faso est classé 50e sur 122 territoires au monde. Le potentiel minier du Burkina Faso n'est pas des plus intéressants d'Afrique en terme de teneur ni de volume, mais la politique minière à travers le code minier, la stabilité politique dont le pays a fait montre jusqu'en 2014 et l'élection du pays à la conformité de la norme ITIE en 2013, ont élevé l'index d'attractivité de l'investissement selon l'Institut. Le secteur minier représente près de 12% du PIB du pays et constitue 20 % des recettes fiscales nationales.
-OUAGADOUGOU-L'Office national des télécommunications(ONATEL), filiale de par Maroc Télécom, a réalisé un résultat net de 19,6 milliards de FCFA en 2014 contre 20,3 milliards de FCFA en 2013, a appris APA auprès des responsables de la société.
Le total bilan a enregistré une baisse de 7 points par rapport au précédent exercice à 192 milliards de FCFA. Pour les responsables de l'Office, cette baisse de performance s'explique ‘'par un contexte difficile avec notamment des pressions fiscales et réglementaires qui ont impacté la croissance de ses résultats financiers''. Le Gouvernement burkinabé avait instauré dans le cadre de la loi de finances 2014 une taxe de 5% assise sur le chiffre d'affaires hors taxes des trois compagnies téléphoniques nationales. Aussi, le résultat net a été négativement impacté par les pressions fiscales et réglementaires liées à ladite loi de finances. L'ONATEL affiche aujourd'hui 5,5 millions d'abonnés dans la branche téléphonie mobile et 80 716 clients actifs, dans le fixe.
-NEW YORK- Les cours du pétrole ont bondi mercredi à New York à l'annonce d'une nouvelle petite baisse de la production américaine et d'une augmentation des stocks de brut moins forte que prévu aux Etats-Unis.
Le prix du baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mai a terminé la séance sur un gain de 3,10 dollars, à 56,39 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), au plus haut depuis près de quatre mois. Depuis le 8 avril, dernière séance en date de baisse des cours à New York, le prix du WTI a grimpé de quelque 12%.A Londres, le baril de Brent pour livraison en mai, dont c'était le dernier jour de cotation, a également terminé en hausse, plus modérée, de 1,89 dollar par rapport à la clôture de mardi, à 60,32 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
A Londres, le baril de Brent pour livraison en mai, dont c'était le dernier jour de cotation, a également terminé en hausse, plus modérée, de 1,89 dollar par rapport à la clôture de mardi, à 60,32 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE). La progression de mercredi était surtout due au petit recul de production aux Etats-Unis, qui est venu confirmer la prévision sortie lundi d'un recul de 57.000 barils par jour de la production de pétrole de schiste en mai, a déclaré Matt Smith, chez Schneider Electric.
-ATHENES- L'agence Standard and Poor's a abaissé mercredi la note de la dette grecque d'un cran à CCC+ et l'a assortie d'une perspective négative, en raison notamment du flottement entourant les discussions entre Athènes et ses créanciers internationaux.
Cette décision reflète le fait que les conditions économiques et financières nécessaires à la solvabilité de la Grèce se sont détériorées en raison de l'incertitude entourant les négociations prolongées entre le gouvernement grec depuis bientôt trois mois à la tête du pays et ses créanciers officiels, écrit l'agence dans un communiqué.Sans conclusion prochaine de ces négociations, dont dépend le versement d'une dernière tranche de prêts du programme d'assistance international au pays, les perspectives économiques de la Grèce pourraient se dégrader encore davantage, alors que, selon S&P, le PIB s'est déjà contracté de 1% sur les six derniers mois. L'agence situe à la mi-mai le délai maximum pour un accord entre Athènes et ses créanciers afin de laisser le temps au parlement grec de voter les réformes qui conditionneront le déboursement de la dernière tranche d'aide.
-PARIS- Les Bourses européennes ont repris du terrain jeudi, terminant en hausse après la conférence de presse du président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi qui n'a pas réservé de surprises.
M. Draghi a "répété ce que le marché avait déjà anticipé" dans un discours toujours "accommodant", explique Alexandre Baradez, analyste de IG France.Il a estimé qu'il était "clair" que les mesures mises en place par l'institution, notamment ses rachats massifs d'actifs, étaient "efficaces", et a affirmé sa volonté de les mener à bien "pleinement". Le marché a également été rassuré, selon Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse, par le fait que Draghi ait affirmé qu'aucune réflexion n'était en cours pour mettre fin au programme avant le terme initial. L'indice Eurostoxx a pris 0,50 %.
-LONDRES- L'euro perdait un peu de terrain face au dollar mercredi, limitant ses pertes grâce à des commentaires jugés encourageants de la Banque centrale européenne (BCE) alors que le billet vert était lesté par de nouveaux indicateurs américains décevants.
Vers 16H00 GMT, la monnaie unique européenne valait 1,0600 dollar, contre 1,0654 dollar mardi vers 21H00 GMT.
La devise européenne baissait face à la monnaie nippone, à 126,38 yens contre 127,24 yens mardi. Le dollar aussi baissait face à la devise japonaise, à 119,22 yens contre 119,44 yens la veille.L'attention des cambistes a été accaparée mercredi par la conférence de presse du président de la BCE Mario Draghi, mercredi au lieu de jeudi comme d'habitude, pour permettre à certains participants de partir à Washington assister à la réunion de printemps du Fonds monétaire international (FMI) du 17 au 19 avril. La conférence de presse a été brièvement suspendue peu de temps après son début suite à l'irruption d'une jeune femme, scandant en anglais "arrêtez la dictature de la BCE", sur la table devant M. Draghi, qui a rapidement repris son intervention sans encombre.
Selon des résultats définitifs à la clôture, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a gagné 75,91 points à 18.112,61 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 33,73 points à 5.011,02 points.L'indice élargi S&P 500, sur lequel se basent de nombreux investisseurs, a gagné 0,51%, soit 10,79 points, pour terminer à 2.106,63 points. Un peu plus tôt, les cours du brut avaient terminé la séance sur un bond de 3,10 dollars, à 56,39 dollars le baril de pétrole WTI coté à New York, renouant avec des niveaux qu'on n'avait plus vus depuis quatre mois. Un peu plus tôt, les cours du brut avaient terminé la séance sur un bond de 3,10 dollars, à 56,39 dollars le baril de pétrole WTI coté à New York, renouant avec des niveaux qu'on n'avait plus vus depuis quatre mois. Cette envolée, liée à l'annonce d'un petit reflux de la production américaine et au ralentissement de l'abondement des réserves américaines en pétrole brut, a bénéficié aux valeurs liées à l'énergie, qui pèsent lourd dans la cote.
-OUAGADOUGOU-Selon le rapport 2014 de l’Institut Fraser du Canada, le Burkina Faso est la sixième destination appréciée par les investisseurs miniers en Afrique, derrière la Namibie, le Bostwana, la Zambie, le Maroc et le Ghana, a appris APA auprès du ministère en charge des mines.
Le rapport a évalué la façon dont le potentiel minier et les facteurs de politique publique tels que la fiscalité et l'incertitude réglementaire affectent les investissements dans l'industrie extractive.Le classement des pays est fait sur la base de l'Index d'attractivité de l'investissement et le Burkina Faso est classé 50e sur 122 territoires au monde. Le potentiel minier du Burkina Faso n'est pas des plus intéressants d'Afrique en terme de teneur ni de volume, mais la politique minière à travers le code minier, la stabilité politique dont le pays a fait montre jusqu'en 2014 et l'élection du pays à la conformité de la norme ITIE en 2013, ont élevé l'index d'attractivité de l'investissement selon l'Institut. Le secteur minier représente près de 12% du PIB du pays et constitue 20 % des recettes fiscales nationales.
-OUAGADOUGOU-L'Office national des télécommunications(ONATEL), filiale de par Maroc Télécom, a réalisé un résultat net de 19,6 milliards de FCFA en 2014 contre 20,3 milliards de FCFA en 2013, a appris APA auprès des responsables de la société.
Le total bilan a enregistré une baisse de 7 points par rapport au précédent exercice à 192 milliards de FCFA. Pour les responsables de l'Office, cette baisse de performance s'explique ‘'par un contexte difficile avec notamment des pressions fiscales et réglementaires qui ont impacté la croissance de ses résultats financiers''. Le Gouvernement burkinabé avait instauré dans le cadre de la loi de finances 2014 une taxe de 5% assise sur le chiffre d'affaires hors taxes des trois compagnies téléphoniques nationales. Aussi, le résultat net a été négativement impacté par les pressions fiscales et réglementaires liées à ladite loi de finances. L'ONATEL affiche aujourd'hui 5,5 millions d'abonnés dans la branche téléphonie mobile et 80 716 clients actifs, dans le fixe.
-NEW YORK- Les cours du pétrole ont bondi mercredi à New York à l'annonce d'une nouvelle petite baisse de la production américaine et d'une augmentation des stocks de brut moins forte que prévu aux Etats-Unis.
Le prix du baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mai a terminé la séance sur un gain de 3,10 dollars, à 56,39 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), au plus haut depuis près de quatre mois. Depuis le 8 avril, dernière séance en date de baisse des cours à New York, le prix du WTI a grimpé de quelque 12%.A Londres, le baril de Brent pour livraison en mai, dont c'était le dernier jour de cotation, a également terminé en hausse, plus modérée, de 1,89 dollar par rapport à la clôture de mardi, à 60,32 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
A Londres, le baril de Brent pour livraison en mai, dont c'était le dernier jour de cotation, a également terminé en hausse, plus modérée, de 1,89 dollar par rapport à la clôture de mardi, à 60,32 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE). La progression de mercredi était surtout due au petit recul de production aux Etats-Unis, qui est venu confirmer la prévision sortie lundi d'un recul de 57.000 barils par jour de la production de pétrole de schiste en mai, a déclaré Matt Smith, chez Schneider Electric.
-ATHENES- L'agence Standard and Poor's a abaissé mercredi la note de la dette grecque d'un cran à CCC+ et l'a assortie d'une perspective négative, en raison notamment du flottement entourant les discussions entre Athènes et ses créanciers internationaux.
Cette décision reflète le fait que les conditions économiques et financières nécessaires à la solvabilité de la Grèce se sont détériorées en raison de l'incertitude entourant les négociations prolongées entre le gouvernement grec depuis bientôt trois mois à la tête du pays et ses créanciers officiels, écrit l'agence dans un communiqué.Sans conclusion prochaine de ces négociations, dont dépend le versement d'une dernière tranche de prêts du programme d'assistance international au pays, les perspectives économiques de la Grèce pourraient se dégrader encore davantage, alors que, selon S&P, le PIB s'est déjà contracté de 1% sur les six derniers mois. L'agence situe à la mi-mai le délai maximum pour un accord entre Athènes et ses créanciers afin de laisser le temps au parlement grec de voter les réformes qui conditionneront le déboursement de la dernière tranche d'aide.
-PARIS- Les Bourses européennes ont repris du terrain jeudi, terminant en hausse après la conférence de presse du président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi qui n'a pas réservé de surprises.
M. Draghi a "répété ce que le marché avait déjà anticipé" dans un discours toujours "accommodant", explique Alexandre Baradez, analyste de IG France.Il a estimé qu'il était "clair" que les mesures mises en place par l'institution, notamment ses rachats massifs d'actifs, étaient "efficaces", et a affirmé sa volonté de les mener à bien "pleinement". Le marché a également été rassuré, selon Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse, par le fait que Draghi ait affirmé qu'aucune réflexion n'était en cours pour mettre fin au programme avant le terme initial. L'indice Eurostoxx a pris 0,50 %.
-LONDRES- L'euro perdait un peu de terrain face au dollar mercredi, limitant ses pertes grâce à des commentaires jugés encourageants de la Banque centrale européenne (BCE) alors que le billet vert était lesté par de nouveaux indicateurs américains décevants.
Vers 16H00 GMT, la monnaie unique européenne valait 1,0600 dollar, contre 1,0654 dollar mardi vers 21H00 GMT.
La devise européenne baissait face à la monnaie nippone, à 126,38 yens contre 127,24 yens mardi. Le dollar aussi baissait face à la devise japonaise, à 119,22 yens contre 119,44 yens la veille.L'attention des cambistes a été accaparée mercredi par la conférence de presse du président de la BCE Mario Draghi, mercredi au lieu de jeudi comme d'habitude, pour permettre à certains participants de partir à Washington assister à la réunion de printemps du Fonds monétaire international (FMI) du 17 au 19 avril. La conférence de presse a été brièvement suspendue peu de temps après son début suite à l'irruption d'une jeune femme, scandant en anglais "arrêtez la dictature de la BCE", sur la table devant M. Draghi, qui a rapidement repris son intervention sans encombre.