Elève en classe de terminale, E. Ndiaye qui est mouillé dans une affaire d’homosexualité avec un Nigérian, a non seulement raté son bac, mais il vient de donner un sacré coup de frein à ses études.
Jugé hier, pour actes contre nature, il a été condamné à un an ferme, tout comme son amant nigérian. Ils devront également payer chacun, la somme de 150 000 francs.
A la barre, l’élève qui jouait le rôle de la femme dans le couple, avait commencé à nier les faits, en déclarant qu’il réclamait seulement son portable à son compagnon d'une étreinte. Il a par ailleurs soutenu qu’il n’a jamais entretenu quelque rapport sexuel que ce soit avec le Nigérian. Ce, contrairement au Nigérian; qui a reconnu dans les moindres détails, les faits.
Selon lui, le jeune homme était comme sa copine, ils entretenaient une relation amoureuse. Et il explique que c’est à cause d’une affaire d’argent, qu’ils en ont venus aux mains. Mal barré avec les aveux circonstanciés de son amant, le jeune Sénégalais a finalement changé de fusil d’épaule en faisant des aveux.
Toutes choses qui feront que le procureur de la République a requis à l’encontre du couple homosexuel, une peine ferme d’un an. Un réquisitoire qui a d’ailleurs, été suivi à la lettre par le tribunal, même si la défense avait sollicité qu’on leur tende une perche, au lieu de les condamner.
Pour rappel, cette scandaleuse affaire d’acte contre-nature avait été traitée par le commissariat de Médina. Il s’agit de d’un jeune sénégalais, élevé en classe de terminale, qui s’est entiché d’un autre homosexuel nigérian qu’il a connu via Facebook. Blessé à l’anus lors d’un rapport sexuel, l’élève qui est né en 1995, s’est donné en spectacle dans la rue avec son amant, qui refusait de le soigner.
Le plus paradoxal dans cette affaire, c’est qu’ils ont tous les deux piqué le virus dans un internat. Il faut dire que si l’élève ne s’était pas bagarré avec son amant dans la rue, pour une affaire de téléphone, peut-être que jamais ses parents n’auraient des soupçonné qu’ils élevaient un homosexuel chez eux.
D’ailleurs, lui-même a avoué aux enquêteurs du commissariat de Médina que pour éviter tout soupçon dans sa famille, il courtisait des filles, afin de masquer son homosexualité. Et dans cette affaire, c’est lui-même qui avait porté plainte contre son amant. Mais il semble que les choses se sont retournées contre lui, puisqu’il a été déféré au parquet et condamné au même titre que son amant nigérian.
Jugé hier, pour actes contre nature, il a été condamné à un an ferme, tout comme son amant nigérian. Ils devront également payer chacun, la somme de 150 000 francs.
A la barre, l’élève qui jouait le rôle de la femme dans le couple, avait commencé à nier les faits, en déclarant qu’il réclamait seulement son portable à son compagnon d'une étreinte. Il a par ailleurs soutenu qu’il n’a jamais entretenu quelque rapport sexuel que ce soit avec le Nigérian. Ce, contrairement au Nigérian; qui a reconnu dans les moindres détails, les faits.
Selon lui, le jeune homme était comme sa copine, ils entretenaient une relation amoureuse. Et il explique que c’est à cause d’une affaire d’argent, qu’ils en ont venus aux mains. Mal barré avec les aveux circonstanciés de son amant, le jeune Sénégalais a finalement changé de fusil d’épaule en faisant des aveux.
Toutes choses qui feront que le procureur de la République a requis à l’encontre du couple homosexuel, une peine ferme d’un an. Un réquisitoire qui a d’ailleurs, été suivi à la lettre par le tribunal, même si la défense avait sollicité qu’on leur tende une perche, au lieu de les condamner.
Pour rappel, cette scandaleuse affaire d’acte contre-nature avait été traitée par le commissariat de Médina. Il s’agit de d’un jeune sénégalais, élevé en classe de terminale, qui s’est entiché d’un autre homosexuel nigérian qu’il a connu via Facebook. Blessé à l’anus lors d’un rapport sexuel, l’élève qui est né en 1995, s’est donné en spectacle dans la rue avec son amant, qui refusait de le soigner.
Le plus paradoxal dans cette affaire, c’est qu’ils ont tous les deux piqué le virus dans un internat. Il faut dire que si l’élève ne s’était pas bagarré avec son amant dans la rue, pour une affaire de téléphone, peut-être que jamais ses parents n’auraient des soupçonné qu’ils élevaient un homosexuel chez eux.
D’ailleurs, lui-même a avoué aux enquêteurs du commissariat de Médina que pour éviter tout soupçon dans sa famille, il courtisait des filles, afin de masquer son homosexualité. Et dans cette affaire, c’est lui-même qui avait porté plainte contre son amant. Mais il semble que les choses se sont retournées contre lui, puisqu’il a été déféré au parquet et condamné au même titre que son amant nigérian.