C’est le père de la victime Babacar Dièye, domicilié à Keur Massar, qui a porté plainte contre son ex-beau frère Baba Faty, lui reprochant d’avoir abusé de sa petite fille qui vivait chez sa mère. S’appuyant sur le certificat médical d’agression sexuelle délivré à M. B. Dièye par le médecin en service à l’hôpital Dominique de Pikine, le papa dit venir en père déboussolé chercher justice pour sa progéniture.
«M. B. Dièye vivait chez sa mère depuis 2009, date à laquelle j’ai divorcé avec elle. De temps en temps, elle fuguait de chez sa mère pour venir se réfugier chez moi. C’est ainsi que je m’inquiétais sur la cause de ces fugues. Sur ce, j’ai décidé qu’elle vienne vivre chez moi afin de mieux la surveiller. Mais à ma grande surprise elle a recommencé à fuguer de ma maison aussi. C’est ainsi que j’ai demandé à ma sœur de la conduire au dispensaire. De là , on nous informe qu’elle n’était plus vierge. C’est ainsi qu’elle nous a fait savoir que depuis trois ans, son oncle maternel du nom de Baba Faty n’a cessé de la violer», peste le père de la victime.
Interrogée à l’enquête préliminaire, la victime âgée de 16 ans a affirmé: «les faits remontent à 2013, lorsque j’ai décidé d’aller vivre chez ma mère qui venait de divorcer d’avec mon père. Ma mère travaille à la gare des baux maraîchers. Elle rentre à la maison très tard dans la nuit. Pendant ce temps, je reste dans la maison avec ma grand-mère, mes deux petites sœurs et mon oncle maternel qui profitait de l’absence de ma mère pour me violer».
Poursuivant, la petite l’air innocente ajoute: «la première fois que qu’il a abusé de moi, il m’avait envoyée lui acheter une allumette à la boutique. A mon retour, je suis allée la lui donner, malheureusement, il avait d’autres intentions. Il m’a forcée pour me violer. A chaque fois qu’il avait envie de satisfaire sa libido, il me conduisait de force au niveau de la terrasse de notre maison. Il me l’a fait à deux reprises», dit elle en pleurs.
Interpellé, le prévenu Baba Faty, né en 1980 nie en bloc les accusations portées contre sa personne: «c‘est le vendredi 8 juillet qu’on m’a avisé de cette affaire. Depuis le début de la procédure, je leur ai dit que je n’étais pas au courant et que je ne serai jamais capable de faire de tels actes à ma propre nièce. C’est elle qui a l’habitude de fuguer. Les voisins peuvent en témoigner. Je n’ai jamais violé cette fille ni une toute autre fille d’ailleurs», a juré le mis en cause.
Finalement, le tribunal a renvoyé l’affaire jusqu’au 26 juillet prochain pour la production de l’acte de naissance de la fille, les deux parties se disputant sur le véritable âge de la victime.
«M. B. Dièye vivait chez sa mère depuis 2009, date à laquelle j’ai divorcé avec elle. De temps en temps, elle fuguait de chez sa mère pour venir se réfugier chez moi. C’est ainsi que je m’inquiétais sur la cause de ces fugues. Sur ce, j’ai décidé qu’elle vienne vivre chez moi afin de mieux la surveiller. Mais à ma grande surprise elle a recommencé à fuguer de ma maison aussi. C’est ainsi que j’ai demandé à ma sœur de la conduire au dispensaire. De là , on nous informe qu’elle n’était plus vierge. C’est ainsi qu’elle nous a fait savoir que depuis trois ans, son oncle maternel du nom de Baba Faty n’a cessé de la violer», peste le père de la victime.
Interrogée à l’enquête préliminaire, la victime âgée de 16 ans a affirmé: «les faits remontent à 2013, lorsque j’ai décidé d’aller vivre chez ma mère qui venait de divorcer d’avec mon père. Ma mère travaille à la gare des baux maraîchers. Elle rentre à la maison très tard dans la nuit. Pendant ce temps, je reste dans la maison avec ma grand-mère, mes deux petites sœurs et mon oncle maternel qui profitait de l’absence de ma mère pour me violer».
Poursuivant, la petite l’air innocente ajoute: «la première fois que qu’il a abusé de moi, il m’avait envoyée lui acheter une allumette à la boutique. A mon retour, je suis allée la lui donner, malheureusement, il avait d’autres intentions. Il m’a forcée pour me violer. A chaque fois qu’il avait envie de satisfaire sa libido, il me conduisait de force au niveau de la terrasse de notre maison. Il me l’a fait à deux reprises», dit elle en pleurs.
Interpellé, le prévenu Baba Faty, né en 1980 nie en bloc les accusations portées contre sa personne: «c‘est le vendredi 8 juillet qu’on m’a avisé de cette affaire. Depuis le début de la procédure, je leur ai dit que je n’étais pas au courant et que je ne serai jamais capable de faire de tels actes à ma propre nièce. C’est elle qui a l’habitude de fuguer. Les voisins peuvent en témoigner. Je n’ai jamais violé cette fille ni une toute autre fille d’ailleurs», a juré le mis en cause.
Finalement, le tribunal a renvoyé l’affaire jusqu’au 26 juillet prochain pour la production de l’acte de naissance de la fille, les deux parties se disputant sur le véritable âge de la victime.