Au lendemain de la rocambolesque découverte faite par un jeune qui avait surpris son père et sa femme au lit, une autre affaire de mœurs a été jugée, selon L'As, devant le Tribunal correctionnel de Diourbel.
Au cours de l’année 2016, l’étudiant Birame Mbaye, qui postulait pour un recrutement dans l’armée, fait la connaissance de Sokhna Diarra Ndiaye, élève en classe de troisième au lycée de Bambey. Les deux jeunes échangent de numéros de téléphone, et s’est ensuivie une belle histoire d’amour. Mais lorsque le père de la fille, en service à l’université Alioune Diop de Bambey a eu vent de l’histoire, il ordonne à l’étudiant de rompre d’avec sa fille. Birame Mbaye refuse de quitter sa dulcinée.
Dans tous ses états, le sieur Ndiaye dépose une plainte contre le jeune homme pour détournement de mineure. Jugé hier, Birame Mbaye a eu l'occasion de s'expliquer avant d'être relaxé. Selon le maître des poursuites, la moindre pièce d’état-civil attestant de la minorité de la fille n’a été versée dans le dossier. Qui plus est, la fille aurait fait plusieurs fois la classe de troisième. De plus, elle a reconnu qu’elle s’est volontairement donnée à son amant. Une brèche dans laquelle s’est engouffré Me Abdoulaye Babou pour demander l’application bienveillante de la loi et la relaxe pour son client.
Après quelques minutes de délibération, le Tribunal a prononcé la relaxe pure et simple de l’étudiant.
Au cours de l’année 2016, l’étudiant Birame Mbaye, qui postulait pour un recrutement dans l’armée, fait la connaissance de Sokhna Diarra Ndiaye, élève en classe de troisième au lycée de Bambey. Les deux jeunes échangent de numéros de téléphone, et s’est ensuivie une belle histoire d’amour. Mais lorsque le père de la fille, en service à l’université Alioune Diop de Bambey a eu vent de l’histoire, il ordonne à l’étudiant de rompre d’avec sa fille. Birame Mbaye refuse de quitter sa dulcinée.
Dans tous ses états, le sieur Ndiaye dépose une plainte contre le jeune homme pour détournement de mineure. Jugé hier, Birame Mbaye a eu l'occasion de s'expliquer avant d'être relaxé. Selon le maître des poursuites, la moindre pièce d’état-civil attestant de la minorité de la fille n’a été versée dans le dossier. Qui plus est, la fille aurait fait plusieurs fois la classe de troisième. De plus, elle a reconnu qu’elle s’est volontairement donnée à son amant. Une brèche dans laquelle s’est engouffré Me Abdoulaye Babou pour demander l’application bienveillante de la loi et la relaxe pour son client.
Après quelques minutes de délibération, le Tribunal a prononcé la relaxe pure et simple de l’étudiant.