C’est devant le tribunal des flagrants délits de Diourbel que Mbaye Sène a choisi de solder ses comptes avec son neveu, Mor Dia Samb, à qui il réclame la rondelette somme de 87 millions FCfa. Établi en France depuis plusieurs décennies, Mbaye Sène est tombé des nues quand son neveu lui a martelé qu’il ne lui devait pas un centime, nous apprend "L'As".
En effet, il s’agit d’un dossier d’abus de confiance portant sur 87 millions de francs Cfa, qui oppose un oncle à son neveu. Émigré établi en France, Mbaye Sène a porté plainte contre son neveu Mor Dia Samb qui, selon lui, l’aurait grugé de 87 millions FCfa. Et pourtant, entre les deux, les relations étaient toujours basées sur la confiance, le respect et la considération depuis plus de trente ans. Parce qu’ayant récupéré chez lui son neveu Mor Dia Samb, alors orphelin et gamin, Mbaye Sène lui a appris toutes les ficèles du métier de commerçant.
Mieux, il lui a même donné en mariage sa propre fille et baptisé tous ses enfants. Et quand il a jugé que con neveu était en mesure de gérer ses affaires, l’émigré lui a confié un grand magasin qu’il avait ouvert à Touba. Mor Dia Samb lui a rétorqué qu’il ne lui devait pas un sou. En fait, les choses ont tourné au vinaigre entre les deux quand Mbaye Sène, voulant rentrer en Italie, a demandé à son neveu de lui débloquer 300 mille pour son billet retour et que celui-ci lui a rétorqué que les deux magasins lui appartenaient. Dans son verdict rendu hier, le tribunal a reconnu Mor Dia Samb coupable du délit d'abus de confiance.
En effet, il s’agit d’un dossier d’abus de confiance portant sur 87 millions de francs Cfa, qui oppose un oncle à son neveu. Émigré établi en France, Mbaye Sène a porté plainte contre son neveu Mor Dia Samb qui, selon lui, l’aurait grugé de 87 millions FCfa. Et pourtant, entre les deux, les relations étaient toujours basées sur la confiance, le respect et la considération depuis plus de trente ans. Parce qu’ayant récupéré chez lui son neveu Mor Dia Samb, alors orphelin et gamin, Mbaye Sène lui a appris toutes les ficèles du métier de commerçant.
Mieux, il lui a même donné en mariage sa propre fille et baptisé tous ses enfants. Et quand il a jugé que con neveu était en mesure de gérer ses affaires, l’émigré lui a confié un grand magasin qu’il avait ouvert à Touba. Mor Dia Samb lui a rétorqué qu’il ne lui devait pas un sou. En fait, les choses ont tourné au vinaigre entre les deux quand Mbaye Sène, voulant rentrer en Italie, a demandé à son neveu de lui débloquer 300 mille pour son billet retour et que celui-ci lui a rétorqué que les deux magasins lui appartenaient. Dans son verdict rendu hier, le tribunal a reconnu Mor Dia Samb coupable du délit d'abus de confiance.