« La seule fois où on m’a bastonné à l’école, c’était en primaire, quand j’étais en classe de CE1. J’étais turbulent et j’avais une camarade de classe qui était très belle et qui s‘asseyait toujours derrière moi. Un de mes grands frères, qui était en classe de CM2, avait l’habitude de venir à l’école muni d’un petit miroir. Je n’avais rien compris ! Et, il nous avait dit qu’il fallait simplement le mettre par terre pour voir ce qui se passe et qui se trouve entre les jambes des filles. Alors j’ai commencé à faire cela avec d’autres camarades de classe », narre monsieur le maire.
Mais il sera finalement pris en flagrant délit par son maître. « Il m’a pris, m’a dénoncé en montrant ce je faisais. Puis, il a demandé à ce que quatre gaillards me prennent. Il m’avait tellement bastonné que j’en garde toujours des cicatrices », raconte Abdoulaye Wilane qui ajoute : « Depuis ce jour, je n’osais plus faire pareille chose à l’école ».
L'édile de Kaffrine se souvient également de son idylle avec sa camarade de classe. Très amoureux de cette dernière, il n’a jamais eu le courage de déclarer sa flamme, même s'il est réputé n’avoir pourtant pas sa langue dans sa poche. Et de cette histoire, il a récolté une dent cassée. « Si vous regardez bien, vous verrez que j’ai une dent qui est cassée. C’est parce que cette fille, je l’aimais tellement d’un amour si idyllique que je disais toujours à mes amis que je vais lui faire ma déclaration d’amour. Il m’arrivait d’écrire des lettres d’amour que je jetais par-delà la palissade de sa maison pour qu’elles atterrissent dans leur cour », explique le socialiste.
Mais, c’est la fin de cette histoire qui est plus drôle. « Chaque fois que je me rendais devant chez elle, arrivé à un mètre du mur de clôture, accompagné de mes amis, on sifflait, on faisait du bruit. Mais dès qu’elle sortait, c’était la course. J’avais peur de lui parler et même de la regarder. Un jour, en courant, j’ai trébuché et je suis tombé et ma dent s'est cassée. Depuis ce jour, je garde cette dent cassée », conclu le porte-parole de Ps.
Mais il sera finalement pris en flagrant délit par son maître. « Il m’a pris, m’a dénoncé en montrant ce je faisais. Puis, il a demandé à ce que quatre gaillards me prennent. Il m’avait tellement bastonné que j’en garde toujours des cicatrices », raconte Abdoulaye Wilane qui ajoute : « Depuis ce jour, je n’osais plus faire pareille chose à l’école ».
L'édile de Kaffrine se souvient également de son idylle avec sa camarade de classe. Très amoureux de cette dernière, il n’a jamais eu le courage de déclarer sa flamme, même s'il est réputé n’avoir pourtant pas sa langue dans sa poche. Et de cette histoire, il a récolté une dent cassée. « Si vous regardez bien, vous verrez que j’ai une dent qui est cassée. C’est parce que cette fille, je l’aimais tellement d’un amour si idyllique que je disais toujours à mes amis que je vais lui faire ma déclaration d’amour. Il m’arrivait d’écrire des lettres d’amour que je jetais par-delà la palissade de sa maison pour qu’elles atterrissent dans leur cour », explique le socialiste.
Mais, c’est la fin de cette histoire qui est plus drôle. « Chaque fois que je me rendais devant chez elle, arrivé à un mètre du mur de clôture, accompagné de mes amis, on sifflait, on faisait du bruit. Mais dès qu’elle sortait, c’était la course. J’avais peur de lui parler et même de la regarder. Un jour, en courant, j’ai trébuché et je suis tombé et ma dent s'est cassée. Depuis ce jour, je garde cette dent cassée », conclu le porte-parole de Ps.