« Nous pensons véritablement que le groupe Bin Ladin gagnerait à finir le travail dans les meilleurs délais », a expliqué le DG de l'AIBD.
Sur les 63 milliards de FCFA réclamés pour un 5e avenant qu’il aimerait voir signé et le 4e avenant, M. Mbodj, indique : « il était annoncé 58 milliards mais malheureusement nous ne sommes pas d’accord ni pour le 4e ni pour le 5e avenant. Techniquement, ces avenants ne sont pas justifiables, financièrement, ils ne sont pas appropriés ».
Et de poursuivre : « là, nous ne sommes pas les seuls. La société qui nous accompagne est également de notre avis. Plusieurs rencontres ont été faites et nous arrivés à la conclusions que ces avenants sont à rejetés. Alors, nous ne payerons pas.
« Le 4e est un avenant négatif. Pour la première fois. Tous les 3 premiers avenants ont été signés par l’ancien régime. Nous avons fait une lettre de mise en demeure de la société Bin Laden depuis dix ans pour demander s’il allait terminer cet aéroport.Il répond qu’il attend une réunion dans dix jours. Pour nous, cette réunion doit se tenir au plus haut niveau pour que des décisions puissent être prises une dernière fois. J’aurais souhaité que ce soit au niveau présidentiel », révèle M. Mbodj.
Sur les 63 milliards de FCFA réclamés pour un 5e avenant qu’il aimerait voir signé et le 4e avenant, M. Mbodj, indique : « il était annoncé 58 milliards mais malheureusement nous ne sommes pas d’accord ni pour le 4e ni pour le 5e avenant. Techniquement, ces avenants ne sont pas justifiables, financièrement, ils ne sont pas appropriés ».
Et de poursuivre : « là, nous ne sommes pas les seuls. La société qui nous accompagne est également de notre avis. Plusieurs rencontres ont été faites et nous arrivés à la conclusions que ces avenants sont à rejetés. Alors, nous ne payerons pas.
« Le 4e est un avenant négatif. Pour la première fois. Tous les 3 premiers avenants ont été signés par l’ancien régime. Nous avons fait une lettre de mise en demeure de la société Bin Laden depuis dix ans pour demander s’il allait terminer cet aéroport.Il répond qu’il attend une réunion dans dix jours. Pour nous, cette réunion doit se tenir au plus haut niveau pour que des décisions puissent être prises une dernière fois. J’aurais souhaité que ce soit au niveau présidentiel », révèle M. Mbodj.