Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique est conscient de la présence d’une menace terroriste au Sénégal et dans la sous-région. Venu présider la 4eme réunion du comité de pilotage du projet Pact (Plan d’action contre le terrorisme), en présence de l’ambassadeur de la France au Sénégal, Jean-Félix Paganon, Abdoulaye Daouda Diallo a appelé à une lutte farouche contre le terrorisme.
«La montée en puissance de groupes terroristes a achevé de démontrer que le terrorisme doit être combattu partout dans le même engagement de la communauté internationale. La particularité des menaces réside essentiellement dans la forte prégnance des conflits ‘’asymétrique’’, principalement caractérisés par le terrorisme, dans toutes les parties de l’Afrique, sans négliger les autres foyers de tensions», a ajouté le ministre. Il trouve même que «la situation demeure plus que jamais préoccupante, à la lumière des nombreuses crises qui constituent le quotidien des Etats, en proie au terrorisme international et à ses phénomènes connexes, favorisés par la porosité des frontières, la circulations des armes, la faiblesse des institutions, le déficit démocratique et l’absence de débouchés pour la jeunesse».
Ces failles profitent, selon le ministre de l’Intérieur, aux organisations terroristes. «Les groupes terroristes et criminels tirent généralement parti de ces failles pour recruter et prospérer. Il en est ainsi de la logique djihadiste, alimentée par une rhétorique radicale qui pousse des jeunes à commettre des attentats ou combattre à l’étranger. Nous devons donc continuer à lutter contre les causes profondes d’instabilité par la promotion de l’Etat de droit, l’éducation, la formation et l’emploi des jeunes, pour leur donner des raisons d’espérer et les prémunir contre des chantres de l’obscurantisme qui mènent à la violence».
Abdoulaye Daouda Diallo, au cours de son allocution devant ses collaborateurs et la délégation française, a aussi assuré que «des tentatives de réponses, tant politiques que sécuritaires auxquelles contribue le Sénégal, sont apportées présentement pour renverser la courbe et la spirale de l’insécurité en Afrique, à travers les efforts continus du gouvernement. Toutefois, des efforts supplémentaires doivent être consentis face à la subsistance et à la persistance des défis de l’heure. D’où la nécessité dé réfléchir sur la meilleure manière de consolider les acquis, de corriger les lacunes, d’échanger de bonnes pratiques et de renforcer les capacités des services régaliens de l’Etat».
«La montée en puissance de groupes terroristes a achevé de démontrer que le terrorisme doit être combattu partout dans le même engagement de la communauté internationale. La particularité des menaces réside essentiellement dans la forte prégnance des conflits ‘’asymétrique’’, principalement caractérisés par le terrorisme, dans toutes les parties de l’Afrique, sans négliger les autres foyers de tensions», a ajouté le ministre. Il trouve même que «la situation demeure plus que jamais préoccupante, à la lumière des nombreuses crises qui constituent le quotidien des Etats, en proie au terrorisme international et à ses phénomènes connexes, favorisés par la porosité des frontières, la circulations des armes, la faiblesse des institutions, le déficit démocratique et l’absence de débouchés pour la jeunesse».
Ces failles profitent, selon le ministre de l’Intérieur, aux organisations terroristes. «Les groupes terroristes et criminels tirent généralement parti de ces failles pour recruter et prospérer. Il en est ainsi de la logique djihadiste, alimentée par une rhétorique radicale qui pousse des jeunes à commettre des attentats ou combattre à l’étranger. Nous devons donc continuer à lutter contre les causes profondes d’instabilité par la promotion de l’Etat de droit, l’éducation, la formation et l’emploi des jeunes, pour leur donner des raisons d’espérer et les prémunir contre des chantres de l’obscurantisme qui mènent à la violence».
Abdoulaye Daouda Diallo, au cours de son allocution devant ses collaborateurs et la délégation française, a aussi assuré que «des tentatives de réponses, tant politiques que sécuritaires auxquelles contribue le Sénégal, sont apportées présentement pour renverser la courbe et la spirale de l’insécurité en Afrique, à travers les efforts continus du gouvernement. Toutefois, des efforts supplémentaires doivent être consentis face à la subsistance et à la persistance des défis de l’heure. D’où la nécessité dé réfléchir sur la meilleure manière de consolider les acquis, de corriger les lacunes, d’échanger de bonnes pratiques et de renforcer les capacités des services régaliens de l’Etat».