«J’ai beaucoup de respect pour les personnalités qui ont occupé de hautes fonctions dans ce pays et Mamadou Lamine Loum en fait partie.»
Ces propos sont d’Abdou Mbow, troisième vice-président de l’Assemblée nationale et porte-parole adjoint de l’Alliance pour la Ré- publique (Apr) qui est monté au créneau pour descendre en flammes le dernier Premier ministre du régime socialiste. Mamadou Lamine Loum, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a sévèrement critiqué la marche du pays arguant qu’il existe une administration centrale désorganisée, des finances publiques mal gérées, une absence d’un véritable plan de développement économique et des collectivités locales mal loties. Une analyse qui est loin de plaire à certains caciques du parti au pouvoir comme le député Abdou Mbow qui a fait savoir que M. Loum appartient au passé.
«La vérité est que l’ancien Premier ministre qui n’est autre que Mamadou Lamine Loum appartient au passé. Il n’est en bonne position pour critiquer le Gouvernement du Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne», dit-il.
Selon lui, sous le magistère du Président Abdou Diouf, «tout le monde se souvient du fameux plan Sakho- Loum qui avait plongé le Sénégal dans de profondes difficultés.»
Poursuivant, M. Mbow clame que «ce plan qui était loin d’être meilleur, a poussé les Sénégalais dans des souffrances. Donc, de ce point de vue, il est permis de dire qu’il n’est pas la personne indiquée pour parler de bonne gestion car, nous ne sommes plus à l’époque de son plan.»
Embouchant la même trompette, Massamba Sène de la Convergence des cadres républicains de dire que «le pays marche fort bien depuis l’accession au pouvoir du Président Macky Sall». «Personne ne peut nier que le régime actuel est en train de faire mieux que tous les régimes précédents. Le Plan Sénégal émergent (Pse) le démontre merveilleusement. Donc, il ne faut pas que le Premier ministre Mamadou Lamine Loum soutienne que le pays est désorganisé à tous les niveaux. C’est loin d’être le cas», tranche-t-il.
Une occasion pour soutenir qu’«un ancien du régime socialiste ne doit pas donner des leçons de bonne gestion d’une administration, des collectivités locales en devenir depuis le lancement de l’Acte 3 de la décentralisation et des finances publiques bien gérées et sans corruption.»
Ces propos sont d’Abdou Mbow, troisième vice-président de l’Assemblée nationale et porte-parole adjoint de l’Alliance pour la Ré- publique (Apr) qui est monté au créneau pour descendre en flammes le dernier Premier ministre du régime socialiste. Mamadou Lamine Loum, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a sévèrement critiqué la marche du pays arguant qu’il existe une administration centrale désorganisée, des finances publiques mal gérées, une absence d’un véritable plan de développement économique et des collectivités locales mal loties. Une analyse qui est loin de plaire à certains caciques du parti au pouvoir comme le député Abdou Mbow qui a fait savoir que M. Loum appartient au passé.
«La vérité est que l’ancien Premier ministre qui n’est autre que Mamadou Lamine Loum appartient au passé. Il n’est en bonne position pour critiquer le Gouvernement du Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne», dit-il.
Selon lui, sous le magistère du Président Abdou Diouf, «tout le monde se souvient du fameux plan Sakho- Loum qui avait plongé le Sénégal dans de profondes difficultés.»
Poursuivant, M. Mbow clame que «ce plan qui était loin d’être meilleur, a poussé les Sénégalais dans des souffrances. Donc, de ce point de vue, il est permis de dire qu’il n’est pas la personne indiquée pour parler de bonne gestion car, nous ne sommes plus à l’époque de son plan.»
Embouchant la même trompette, Massamba Sène de la Convergence des cadres républicains de dire que «le pays marche fort bien depuis l’accession au pouvoir du Président Macky Sall». «Personne ne peut nier que le régime actuel est en train de faire mieux que tous les régimes précédents. Le Plan Sénégal émergent (Pse) le démontre merveilleusement. Donc, il ne faut pas que le Premier ministre Mamadou Lamine Loum soutienne que le pays est désorganisé à tous les niveaux. C’est loin d’être le cas», tranche-t-il.
Une occasion pour soutenir qu’«un ancien du régime socialiste ne doit pas donner des leçons de bonne gestion d’une administration, des collectivités locales en devenir depuis le lancement de l’Acte 3 de la décentralisation et des finances publiques bien gérées et sans corruption.»