Quand il doit parler de Clédor Sène, il a presque envie de vomir. En effet, interpellé sur la sortie de Clédor Sène dans l’émission le Grand Jury” de Rfm citée par Actusen.com, Abdou Latif Coulibaly devient, subitement, silencieux, un bout de temps, avant de charger l’homme qui est revenu sur scène, à travers une interview exclusive sur Sen Tv : "je suis au regret de devoir encore parler de cet homme (Ndlr : Cledor Sène). Rien ne changera le fait qu’il ait été à la tête d’une diabolique entreprise criminelle”.
Visiblement dépité, le Secrétaire général du Gouvernement renchérit : “ce que je regrette dans ma vie, c’est journaliste, j’ai participé à la manipulation de faits, sous l’instigation d’un jeune nommée Clédor Sène”.
Et Abdou Latif Coulibaly d’embrayer : “l’une des taches noires que je revendique dans ma profession, c’est en 1993, d’avoir cru, un instant, à des mensonges et à des manipulations d’un garçon comme Clédor Sène. Et jai suffisamment fait mon mea culpa de journaliste".
Et d’insister qu’il n’a pas suivi la sortie de Clédor Sène. Quand l’animateur de l’émission Mamoudou Ibra Kane lui a demandé si la version de ce dernier est la bonne dans l’affaire du meurtre de Maître Babacar Seye, le Sg du Gouvernement d’e rétorquer : “je ne l’ai pas écouté et j’ai refusé de l’écouter. Je n’en avais pas envie, j’ai le droit de ne pas écouter une émission. J’ai clos ce chapitre avec mon livre en 2005, je n’en parle plus".
Visiblement dépité, le Secrétaire général du Gouvernement renchérit : “ce que je regrette dans ma vie, c’est journaliste, j’ai participé à la manipulation de faits, sous l’instigation d’un jeune nommée Clédor Sène”.
Et Abdou Latif Coulibaly d’embrayer : “l’une des taches noires que je revendique dans ma profession, c’est en 1993, d’avoir cru, un instant, à des mensonges et à des manipulations d’un garçon comme Clédor Sène. Et jai suffisamment fait mon mea culpa de journaliste".
Et d’insister qu’il n’a pas suivi la sortie de Clédor Sène. Quand l’animateur de l’émission Mamoudou Ibra Kane lui a demandé si la version de ce dernier est la bonne dans l’affaire du meurtre de Maître Babacar Seye, le Sg du Gouvernement d’e rétorquer : “je ne l’ai pas écouté et j’ai refusé de l’écouter. Je n’en avais pas envie, j’ai le droit de ne pas écouter une émission. J’ai clos ce chapitre avec mon livre en 2005, je n’en parle plus".