Le cursus scolaire de la gamine F. C a été compromis par son cousin d’étudiant à l’Iseg Mb. D. La mineure traîne présentement une grossesse de 4 mois du fait des œuvres du bonhomme. Le gus a profité de la naïveté de la petite et l’a entraînée dans une chambre avant de la violer. Il a saisi l’absence momentanée des membres de la famille de la maison pour commettre son forfait.
L’étudiant a l’habitude de quitter chez lui pour aller passer la journée chez la fille, où il est très familier avec toute la famille. Il se découvre des sentiments d’amour envers la gamine et développe des rapports de confiance avec elle pour mieux la ferrer. Il joue parfois sur ses relations de cousinage avec la minette devant ses parents et considère celle-ci comme son épouse de fait. Ainsi, il vient un jour dans la maison, trouve la gamine seule dans la cour et demande qu’elle lui offre de l’eau à boire. Il monte aussitôt dans une chambre à l’étage, s’allonge dans le lit et attend.
La fille arrive dans la pièce et tend le pot d’eau à son cousin, qui saisit la main de la petite et la tire de force à l’intérieur. Il referme la porte, entraîne avec violence la gamine dans le lit et commence à lui tripoter fiévreusement les parties intimes. L’adolescente se rebiffe, repousse le chaud lapin et tente de se défaire de l’étreinte. Mais, le gus, sentant la libido en furie lui monter à la tête, hurle de rage, roule des yeux exorbités et crache du venin sur la pauvre. Il peste fort contre celle-ci, la plaque avec violence au lit et menace de la tuer à la moindre tentative de résistance. Il lui ôte le dessous, la viole avec une sauvagerie inouïe et la relâche. Il se rhabille en catastrophe, extirpe l’adolescente de la chambre et lui demande de garder le silence.
Quatre mois plus tard, les parents de la fille constatent un brusque changement morphologique chez leur enfant qui tombe souvent malade, garde le lit et pique tout le temps des crises de vertige. Sa mère redoute un début de paludisme et conduit sa fille à l’hôpital pour une séance de consultation. Mais, après examen médical, le médecin conclut à un début de grossesse de 4 mois et informe la maman. Cette nouvelle fait l’effet d’un coup de tonnerre dans un ciel serein chez les proches. Qui refusent de se rendre à l’évidence et continuent à se triturer les méninges pour tenter de connaître l’auteur de la grossesse. Ils pressent de questions la gamine qui disjoncte et lâche le nom de son cousin d’étudiant à l’Iseg, Mb. D. Une dure pilule à avaler.
Interpellé, l’étudiant réfute systématiquement la paternité de la grossesse et évoque une cabale montée de toutes pièces contre lui. Il jure sur ses grands seigneurs, écrase par moments la larme et nie les faits. Mais, cuisiné par un enquêteur – suite à une plainte pour viol suivi de grossesse – Mb. D. ravale ses dénégations véhémentes, se plie en quatre et endosse l’entière responsabilité des faits incriminés contre lui. Il fait profil bas et se confond dans de plates excuses devant la famille. Il a été présenté malgré tout devant le substitut délégué du procureur de la République, puis placé sous mandat de dépôt pour viol suivi de grossesse d’une mineure de 13 ans.
Vieux Père NDIAYE
jotay
L’étudiant a l’habitude de quitter chez lui pour aller passer la journée chez la fille, où il est très familier avec toute la famille. Il se découvre des sentiments d’amour envers la gamine et développe des rapports de confiance avec elle pour mieux la ferrer. Il joue parfois sur ses relations de cousinage avec la minette devant ses parents et considère celle-ci comme son épouse de fait. Ainsi, il vient un jour dans la maison, trouve la gamine seule dans la cour et demande qu’elle lui offre de l’eau à boire. Il monte aussitôt dans une chambre à l’étage, s’allonge dans le lit et attend.
La fille arrive dans la pièce et tend le pot d’eau à son cousin, qui saisit la main de la petite et la tire de force à l’intérieur. Il referme la porte, entraîne avec violence la gamine dans le lit et commence à lui tripoter fiévreusement les parties intimes. L’adolescente se rebiffe, repousse le chaud lapin et tente de se défaire de l’étreinte. Mais, le gus, sentant la libido en furie lui monter à la tête, hurle de rage, roule des yeux exorbités et crache du venin sur la pauvre. Il peste fort contre celle-ci, la plaque avec violence au lit et menace de la tuer à la moindre tentative de résistance. Il lui ôte le dessous, la viole avec une sauvagerie inouïe et la relâche. Il se rhabille en catastrophe, extirpe l’adolescente de la chambre et lui demande de garder le silence.
Quatre mois plus tard, les parents de la fille constatent un brusque changement morphologique chez leur enfant qui tombe souvent malade, garde le lit et pique tout le temps des crises de vertige. Sa mère redoute un début de paludisme et conduit sa fille à l’hôpital pour une séance de consultation. Mais, après examen médical, le médecin conclut à un début de grossesse de 4 mois et informe la maman. Cette nouvelle fait l’effet d’un coup de tonnerre dans un ciel serein chez les proches. Qui refusent de se rendre à l’évidence et continuent à se triturer les méninges pour tenter de connaître l’auteur de la grossesse. Ils pressent de questions la gamine qui disjoncte et lâche le nom de son cousin d’étudiant à l’Iseg, Mb. D. Une dure pilule à avaler.
Interpellé, l’étudiant réfute systématiquement la paternité de la grossesse et évoque une cabale montée de toutes pièces contre lui. Il jure sur ses grands seigneurs, écrase par moments la larme et nie les faits. Mais, cuisiné par un enquêteur – suite à une plainte pour viol suivi de grossesse – Mb. D. ravale ses dénégations véhémentes, se plie en quatre et endosse l’entière responsabilité des faits incriminés contre lui. Il fait profil bas et se confond dans de plates excuses devant la famille. Il a été présenté malgré tout devant le substitut délégué du procureur de la République, puis placé sous mandat de dépôt pour viol suivi de grossesse d’une mineure de 13 ans.
Vieux Père NDIAYE
jotay