Après avoir observé quelques jours de grève de la faim pour obtenir une liberté provisoire, les pensionnaires de la Maison d’arrêt de Rebeuss ont eu gain de cause. Quatre (4) d’entre eux blessés, par balle, et internés depuis lors au pavillon spécial de l’hôpital Principal de Dakar ont été remis en liberté sans procès.
Selon les sources de Walfadjri, il reste trois (3) blessés toujours retenus au Pavillon spécial pour d’autres affaires les concernant. L’un, A.M Sow maintenu en détention en raison d’une autre affaire le concernant instruite à Diourbel. Sa libération est imminente. Il devait être de même pour S. Guèye, mineur de dix sept (17) ans et de A. Wade.
Loin de se réjouir de cette nouvelle, l’Association pour le soutien et la réinsertion des détenus (Asred) demande au ministère de la justice d’œuvrer pour l’internement, dans des établissements psychiatriques, des détenus qui ne jouissent pas de leurs facultés mentales. “Ces derniers ont plus besoin de blouses blanches que de robes noires. En plus, la place d’un déficient mental n’est pas en milieu carcéral”, soutient l’Asred.
Source-Senego
Selon les sources de Walfadjri, il reste trois (3) blessés toujours retenus au Pavillon spécial pour d’autres affaires les concernant. L’un, A.M Sow maintenu en détention en raison d’une autre affaire le concernant instruite à Diourbel. Sa libération est imminente. Il devait être de même pour S. Guèye, mineur de dix sept (17) ans et de A. Wade.
Loin de se réjouir de cette nouvelle, l’Association pour le soutien et la réinsertion des détenus (Asred) demande au ministère de la justice d’œuvrer pour l’internement, dans des établissements psychiatriques, des détenus qui ne jouissent pas de leurs facultés mentales. “Ces derniers ont plus besoin de blouses blanches que de robes noires. En plus, la place d’un déficient mental n’est pas en milieu carcéral”, soutient l’Asred.
Source-Senego