La résistance antimicrobienne (Ram) constitue une menace pour la santé animale, humaine, environnementale et la santé publique. Elle constitue une préoccupation nationale. Les agents antimicrobiens sont utilisés à des fins préventives ou thérapeutiques en productions animales pour améliorer la production et la productivité.
Au Sénégal, souligne le point focal de Ram au niveau du ministère de l’Elevage et des Productions animales, l’utilisation d’antibiotiques dans le secteur de l’élevage est passée de 11 435 kg en 2015, à environ 39 000 kg en 2021, soit une hausse de plus de 20 000 kg. Cette évolution croissante d’agents antimicrobiens, soutient le docteur Chantal Biagui, nécessite une prise de conscience quant à leur utilisation prudente, responsable et rationnelle afin d’éviter le développement de bactéries multi résistantes.
Selon EnQuête qui donne l’information, le Dr Biagui s’exprimait au cours d’un atelier de mise à niveau sur la résistance antimicrobienne à l'attention des professionnels des médias, organisé par le Secrétariat permanent du Haut conseil national de la sécurité sanitaire mondiale, en partenariat avec l’USAID et l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).
Cette utilisation abusive d’antibiotiques engendre la résistance antimicrobienne. Au Sénégal, souligne le médecin vétérinaire Ibrahima Lô, l’utilisation abusive des antibiotiques et le commerce illicite des médicaments ont fortement contribué à favoriser la Ram. Pourtant, fait savoir le docteur Lô, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) prévient que la Ram deviendra la prochaine pandémie zoonotique, si rien n’est fait.
Selon lui, l’organisation onusienne signale que 4 150 000 personnes pourraient mourir de cette situation en Afrique. Il s’agit d’une estimation du nombre de décès attribuables à l’ARM par an, dans les années 2050. Dans sa présentation des ‘’Enjeux, exigences et implications de la mise en œuvre de l’approche One Health’’, le Dr Lô révèle que la Ram, c’est quand les microbes, notamment responsables d’infestation ou d’infection, deviennent résistants aux médicaments censés les combattre.
Au Sénégal, souligne le point focal de Ram au niveau du ministère de l’Elevage et des Productions animales, l’utilisation d’antibiotiques dans le secteur de l’élevage est passée de 11 435 kg en 2015, à environ 39 000 kg en 2021, soit une hausse de plus de 20 000 kg. Cette évolution croissante d’agents antimicrobiens, soutient le docteur Chantal Biagui, nécessite une prise de conscience quant à leur utilisation prudente, responsable et rationnelle afin d’éviter le développement de bactéries multi résistantes.
Selon EnQuête qui donne l’information, le Dr Biagui s’exprimait au cours d’un atelier de mise à niveau sur la résistance antimicrobienne à l'attention des professionnels des médias, organisé par le Secrétariat permanent du Haut conseil national de la sécurité sanitaire mondiale, en partenariat avec l’USAID et l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).
Cette utilisation abusive d’antibiotiques engendre la résistance antimicrobienne. Au Sénégal, souligne le médecin vétérinaire Ibrahima Lô, l’utilisation abusive des antibiotiques et le commerce illicite des médicaments ont fortement contribué à favoriser la Ram. Pourtant, fait savoir le docteur Lô, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) prévient que la Ram deviendra la prochaine pandémie zoonotique, si rien n’est fait.
Selon lui, l’organisation onusienne signale que 4 150 000 personnes pourraient mourir de cette situation en Afrique. Il s’agit d’une estimation du nombre de décès attribuables à l’ARM par an, dans les années 2050. Dans sa présentation des ‘’Enjeux, exigences et implications de la mise en œuvre de l’approche One Health’’, le Dr Lô révèle que la Ram, c’est quand les microbes, notamment responsables d’infestation ou d’infection, deviennent résistants aux médicaments censés les combattre.