Plus de 14. 000 déplacés et réfugiés ont été recensés en Gambie, fuyant les violences pendant presque deux mois entre l’armée et des rebelles en Casamance. L’armée sénégalaise a lancé le 13 mars une opération contre des rebelles de Casamance, séparée du nord du Sénégal par la Gambie.
L’objectif principal est de démanteler les bases du chef militaire rebelle Salif Sadio, situées le long de la frontière nord avec la Gambie. Une crise humanitaire qui s'intensifie en Gambie, surtout avec le manque d'abris provisoires, regrette l'Agence de protection civile du pays d’Adama Barrow.
Du côté de Dakar, mentionne Rewmi, les autorités restent aphones devant cette situation. Le gouvernement gambien a promis d’aider les personnes déplacées et le Président Adama Barrow a ordonné des patrouilles renforcées près de la frontière, affirmant qu’il protégerait le petit Etat contre toute menace étrangère. Les rebelles casamançais, accusés de trafic de bois et de cannabis, se sont souvent réfugiés en Gambie ou en Guinée-Bissau, qui a également une frontière commune avec le Sénégal.
L’objectif principal est de démanteler les bases du chef militaire rebelle Salif Sadio, situées le long de la frontière nord avec la Gambie. Une crise humanitaire qui s'intensifie en Gambie, surtout avec le manque d'abris provisoires, regrette l'Agence de protection civile du pays d’Adama Barrow.
Du côté de Dakar, mentionne Rewmi, les autorités restent aphones devant cette situation. Le gouvernement gambien a promis d’aider les personnes déplacées et le Président Adama Barrow a ordonné des patrouilles renforcées près de la frontière, affirmant qu’il protégerait le petit Etat contre toute menace étrangère. Les rebelles casamançais, accusés de trafic de bois et de cannabis, se sont souvent réfugiés en Gambie ou en Guinée-Bissau, qui a également une frontière commune avec le Sénégal.