Sans pouvoir lire la dimension mathématique du Coran l’on est relégué à la version PDF faite pour un minimum d’entendement en la matière. Ainsi, le premier verset de la première sourate chronologique dit explicitement : « Apprends par µ (pi) le nom de ton Seigneur qui a enseigné par µ (pi) à travers le calam( tout moyen d’écriture) » Nous savons ainsi que bismilahi se lit µ (pi), nom de Dieu. Pour le µ (pi) des mathématiciens les Arabes choisissent la lettre t tréma, comme c’est le cas pour les deux lettres qui ont donné leur nom à la sourate du même nom, TAHA qui signifie en Arabe piétiner. Cette lettre elle-même est désignée en wolof par TA TANK. C’est-à -dire la lettre qui ressemble à un pied.
Lorsque nous serons arrivés au bigbang le µ (pi) nous apparaitra net. Et si nous écrivons ce mot en Arabe l’on finit par comprendre que bigbang est égal à kun fa yakun. Qui nous renvoie à une double sonorité nous faisant penser à la dimension musicale des mathématiques des pythagoriciens et non des pythagoriens. Or, qui dit sonorité dit vibration, et qui dit vibration dit énergie(e=mc2)
Ce qui vient d’être dit nous éclaire par rapport à la physique quantique qui prône un multivers, (alamina du deuxième verset de la première sourate (multivers)), à onze nœuds symbolisant le chapelet primordial. Et dont le multiple nous a été recommandé par le Prophète (psl) qui nous a demandé de citer le nom de Dieu trente trois fois (baqiyatou as salat). Lesquels multipliés par trois, à leur tour, nous hissent au nombre sacré des quatre vingt dix-neuf noms de Dieu.
Mon propos vise à démontrer l’existence d’une lecture mathématicienne du Coran. Même si, pour y accéder, il faut faire plus qu’apprendre. Là il faut non seulement savoir, mais savoir comprendre.
Ainsi, le Coran nous dit à propos de la première sourate, la Fatiha, qu’il s’agit bien d’un double sept. C’est à dire qu’entre les sept lignes de la Fatiha il y a sept autres lignes qui se trouvent entre les lignes. Il s’agit de la dimension mathématique de la Fatiha.
Nos maîtres, Mame Khalifa Niasse, mon père, mais aussi son frère Baye Niasse, nous apprenaient que la Fatiha était l’extrait ou le concentré du Coran. Et que le bismilahi était, à son tour, le concentré de la Fatiha. Lequel bismilahi était concentré dans le b, c’est-à -dire dans le µ (pi.)
En nous prodiguant son enseignement Baye Niasse nous disait : « Je me dois de m’efforcer pour que vous puissiez savoir comment on peut fixer le point du B arabe. Une des deux choses pourrait en résulter. Ou vous aurez tout compris et mon enseignement s’arrêtera alors. Ou vous n’aurez rien compris. Et l’enseignement continuera de toute façon, mais inutilement. »
Pour corroborer tout cela il y a lieu de se pencher sur les points diacritiques du Coran et qui sont au nombre de trois. C’est-à -dire qui symbolisent les trois nombres naturels : 1, 2 , 3.
A y réfléchir nous voyons que le premier parmi ces points diacritiques est celui qui est matérialisé par le µ (pi) ou le b si vous préférez. Ce même point diacritique va faire une ascension pour matérialiser le n, nour( lumière) .
En d’autres termes, et sans chercher à être pédants en la matière, les lettres diacritiques du Coran mises en mouvement donneraient exactement le mouvement croisé des atomes. C’est-à -dire ce que les atomes font au sein du laboratoire de l’INSERN. Le bombardement des particules.
Pour cette brève réflexion il s’agit de donner des indications sur la dimension mathématique du Coran. Laquelle nécessite l’écriture d’un livre qui serait le vrai TAFSIR. C’est-à -dire la véritable traduction du Livre du Savoir par excellence. Et qui commence par ceci : « Apprends par µ (pi)(la constante d’Archimède) le nom de ton Seigneur. Celui qui a enseigné par le calam, il a appris à l’homme ce qu’il ne saurait ».
Dr Ahmed Khalifa Niasse
Lorsque nous serons arrivés au bigbang le µ (pi) nous apparaitra net. Et si nous écrivons ce mot en Arabe l’on finit par comprendre que bigbang est égal à kun fa yakun. Qui nous renvoie à une double sonorité nous faisant penser à la dimension musicale des mathématiques des pythagoriciens et non des pythagoriens. Or, qui dit sonorité dit vibration, et qui dit vibration dit énergie(e=mc2)
Ce qui vient d’être dit nous éclaire par rapport à la physique quantique qui prône un multivers, (alamina du deuxième verset de la première sourate (multivers)), à onze nœuds symbolisant le chapelet primordial. Et dont le multiple nous a été recommandé par le Prophète (psl) qui nous a demandé de citer le nom de Dieu trente trois fois (baqiyatou as salat). Lesquels multipliés par trois, à leur tour, nous hissent au nombre sacré des quatre vingt dix-neuf noms de Dieu.
Mon propos vise à démontrer l’existence d’une lecture mathématicienne du Coran. Même si, pour y accéder, il faut faire plus qu’apprendre. Là il faut non seulement savoir, mais savoir comprendre.
Ainsi, le Coran nous dit à propos de la première sourate, la Fatiha, qu’il s’agit bien d’un double sept. C’est à dire qu’entre les sept lignes de la Fatiha il y a sept autres lignes qui se trouvent entre les lignes. Il s’agit de la dimension mathématique de la Fatiha.
Nos maîtres, Mame Khalifa Niasse, mon père, mais aussi son frère Baye Niasse, nous apprenaient que la Fatiha était l’extrait ou le concentré du Coran. Et que le bismilahi était, à son tour, le concentré de la Fatiha. Lequel bismilahi était concentré dans le b, c’est-à -dire dans le µ (pi.)
En nous prodiguant son enseignement Baye Niasse nous disait : « Je me dois de m’efforcer pour que vous puissiez savoir comment on peut fixer le point du B arabe. Une des deux choses pourrait en résulter. Ou vous aurez tout compris et mon enseignement s’arrêtera alors. Ou vous n’aurez rien compris. Et l’enseignement continuera de toute façon, mais inutilement. »
Pour corroborer tout cela il y a lieu de se pencher sur les points diacritiques du Coran et qui sont au nombre de trois. C’est-à -dire qui symbolisent les trois nombres naturels : 1, 2 , 3.
A y réfléchir nous voyons que le premier parmi ces points diacritiques est celui qui est matérialisé par le µ (pi) ou le b si vous préférez. Ce même point diacritique va faire une ascension pour matérialiser le n, nour( lumière) .
En d’autres termes, et sans chercher à être pédants en la matière, les lettres diacritiques du Coran mises en mouvement donneraient exactement le mouvement croisé des atomes. C’est-à -dire ce que les atomes font au sein du laboratoire de l’INSERN. Le bombardement des particules.
Pour cette brève réflexion il s’agit de donner des indications sur la dimension mathématique du Coran. Laquelle nécessite l’écriture d’un livre qui serait le vrai TAFSIR. C’est-à -dire la véritable traduction du Livre du Savoir par excellence. Et qui commence par ceci : « Apprends par µ (pi)(la constante d’Archimède) le nom de ton Seigneur. Celui qui a enseigné par le calam, il a appris à l’homme ce qu’il ne saurait ».
Dr Ahmed Khalifa Niasse