Le chef de l’exécutif régional a notamment officialisé cette mesure par un arrêté rendu public le même jour. La pratique de ces activités avait été suspendue à partir du 6 août dernier.
‘’La mesure de suspension des autorisations de faire de la musique, des chants et danses dans les débits de boissons, prescrite par arrêté N°086/GRD du 6août 2020, est levée pour les hôtels, auberges, restaurants, salons de thé et de cafés’’, rapporte le document dont l’APS a reçu une copie.
Le gouverneur exhorte dans le même temps les responsables des établissements concernés de faire respecter les mesures barrières édictées dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid-19.
Les préfets des départements de Dakar, Guédiawaye, Pikine et Rufisque, le commissaire central de Dakar, chef de service régional de la sécurité publique et le commandeur de la légion ouest de la gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Le Collectif des acteurs de la musique avait récemment élevé la voix pour réclamer la reprise de leurs activités. Une rencontre avait déjà été initiée avec le ministère de la Santé et de l’Action sociale le mois dernier, rappelle l’APS.
‘’La mesure de suspension des autorisations de faire de la musique, des chants et danses dans les débits de boissons, prescrite par arrêté N°086/GRD du 6août 2020, est levée pour les hôtels, auberges, restaurants, salons de thé et de cafés’’, rapporte le document dont l’APS a reçu une copie.
Le gouverneur exhorte dans le même temps les responsables des établissements concernés de faire respecter les mesures barrières édictées dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid-19.
Les préfets des départements de Dakar, Guédiawaye, Pikine et Rufisque, le commissaire central de Dakar, chef de service régional de la sécurité publique et le commandeur de la légion ouest de la gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Le Collectif des acteurs de la musique avait récemment élevé la voix pour réclamer la reprise de leurs activités. Une rencontre avait déjà été initiée avec le ministère de la Santé et de l’Action sociale le mois dernier, rappelle l’APS.