Pour le transport, 15 600 personnes ont été interpelées pour différents motifs et 425 individus déférés pour non-respect du couvre-feu. La violation sur le transport interurbain n’est pas en reste mais les déviants ne sont pas nombreux. La police n’a interpellé que 128 personnes depuis le 23 mars, jour où le président de la République a décrété l’état d’urgence et le couvre-feu.
Mais, le nombre de voitures mis aux arrêts se compte par milliers. 3035 véhicules immobilisés, 2180 motos également.
La limitation du nombre de passagers faisait partie des interdits mais des transports ont dévié la règle et tombent sous le coup de la punition. La police a ainsi saisi 1200 pièces d’identité pour surnombre de passagers et non-respect du port du masque.
La capitale sénégalaise arrive en tête de peloton. À Dakar, 10395 individus ont été interpellés. Les autres régions ne sont pas en reste. 11 131 personnes ont eu maille à partir avec la justice parce qu’elles ne couvraient ni la bouche ni le nez. Au total, 21 926 sénégalais ont été verbalisés. La police a aussi fait dans la sensibilisation pour maintenir cette mesure barrière afin de limiter la propagation du virus. Mais, qui pour interpeller l’ennemi invisible qui rôde toujours dans les rues au Sénégal mais aussi dans le monde ?
Emedia
Mais, le nombre de voitures mis aux arrêts se compte par milliers. 3035 véhicules immobilisés, 2180 motos également.
La limitation du nombre de passagers faisait partie des interdits mais des transports ont dévié la règle et tombent sous le coup de la punition. La police a ainsi saisi 1200 pièces d’identité pour surnombre de passagers et non-respect du port du masque.
La capitale sénégalaise arrive en tête de peloton. À Dakar, 10395 individus ont été interpellés. Les autres régions ne sont pas en reste. 11 131 personnes ont eu maille à partir avec la justice parce qu’elles ne couvraient ni la bouche ni le nez. Au total, 21 926 sénégalais ont été verbalisés. La police a aussi fait dans la sensibilisation pour maintenir cette mesure barrière afin de limiter la propagation du virus. Mais, qui pour interpeller l’ennemi invisible qui rôde toujours dans les rues au Sénégal mais aussi dans le monde ?
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