Avec une prévision de croissance moyenne de 3,5 %, l’Afrique subsaharienne résiste à la morosité mondiale. Cependant, l’inflation et la dette restent des épées de Damoclès pesant sur les économies du continent. Dès le 1er janvier, Kristalina Georgieva, la directrice du Fonds monétaire international (FMI), a tiré la sonnette d’alarme. « Un tiers de l’économie mondiale sera en récession en 2023 », a-t-elle souligné, ce qui signifie que cette année sera « plus difficile que la précédente ».
En effet, si les États-Unis (+1 %), la zone euro (+0,5 %) et la Chine (+3 %), principaux moteurs économiques de la planète, accusent le coup, personne n’est épargné. Encore moins le continent africain, qui continue par ailleurs de payer l’addition des conséquences de la pandémie de Covid-19.
Cependant, Selon le FMI, dix pays africains doivent dépasser la moyenne continentale. C’est en particulier le cas du Sénégal, qui se place à la tête du classement avec une prévision de croissance +8,1 % en 2023, vient ensuite le Niger avec +7,3 %. La RDC et le Rwanda sont ex-aequo à la 3e place avec une croissance prévue de +6,5 %
Source : Jeune Afrique avec Africatalyst
En effet, si les États-Unis (+1 %), la zone euro (+0,5 %) et la Chine (+3 %), principaux moteurs économiques de la planète, accusent le coup, personne n’est épargné. Encore moins le continent africain, qui continue par ailleurs de payer l’addition des conséquences de la pandémie de Covid-19.
Cependant, Selon le FMI, dix pays africains doivent dépasser la moyenne continentale. C’est en particulier le cas du Sénégal, qui se place à la tête du classement avec une prévision de croissance +8,1 % en 2023, vient ensuite le Niger avec +7,3 %. La RDC et le Rwanda sont ex-aequo à la 3e place avec une croissance prévue de +6,5 %
Source : Jeune Afrique avec Africatalyst