Une femme enceinte qui a guéri de la fièvre Ebola en Sierra Leone s'est présentée vendredi en "miraculée", alors que l'épidémie a fait depuis fin mai au moins 17 morts dans ce pays et plus de 200 en Guinée voisine.
Victoria Yillah a quitté dimanche l'hôpital de Kenema, une ville de l'est de la Sierra Leone où elle était soignée, après plusieurs semaines passées à lutter contre la mort.
"Je remercie Dieu d'avoir survécu à cette épreuve. Je ne peux pas en dire plus. Je déborde de joie", a affirmé vendredi Mme Yillah, agée d'une trentaine d'années, à la radio publique sierraléonaise. Depuis sa sortie de l'hôpital, les autorités ont annoncé trois autres cas de guérison de la maladie cette semaine. Une foule s'est formée autour de Victoria Yillah alors qu'elle était interviewée par les journalistes. Des proches l'ont qualifiée de "femme miraculée de l'année".
"Nous remercions Dieu de ne l'avoir pas perdue. Sa famille lui en est reconnaissante, de même que tous ceux qui ont aidé à la sauver", a déclaré son mari, Saidu. Selon un médecin de Kenena, Victoria Yillah doit sa guérison à son puissant système immunitaire et un bon suivi médical, car il n'existe aucun médicament ni vaccin contre la fièvre Ebola, maladie hautement contagieuse et souvent mortelle. La Sierra Leone a annoncé le 26 mai son premier cas confirmé d'Ebola.
Le pays a depuis lors enregistré 46 cas confirmés et 76 cas suspects dont 17 décès, selon un bilan officiel communiqué cette semaine. La maladie est déclarée depuis janvier en Guinée voisine, où elle a entraîné plus de 200 décès. Le virus de la fièvre Ebola, découvert en 1976 dans l'actuelle République démocratique du Congo (RDC, ex-Zaïre), peut être transmis à l'homme par des animaux sauvages, et d'homme à homme par des contacts directs.
La fièvre Ebola, souvent mortelle, se traduit par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. Les chances de survie augmentent pour les malades s'ils sont hydratés.
7sur7.be
Victoria Yillah a quitté dimanche l'hôpital de Kenema, une ville de l'est de la Sierra Leone où elle était soignée, après plusieurs semaines passées à lutter contre la mort.
"Je remercie Dieu d'avoir survécu à cette épreuve. Je ne peux pas en dire plus. Je déborde de joie", a affirmé vendredi Mme Yillah, agée d'une trentaine d'années, à la radio publique sierraléonaise. Depuis sa sortie de l'hôpital, les autorités ont annoncé trois autres cas de guérison de la maladie cette semaine. Une foule s'est formée autour de Victoria Yillah alors qu'elle était interviewée par les journalistes. Des proches l'ont qualifiée de "femme miraculée de l'année".
"Nous remercions Dieu de ne l'avoir pas perdue. Sa famille lui en est reconnaissante, de même que tous ceux qui ont aidé à la sauver", a déclaré son mari, Saidu. Selon un médecin de Kenena, Victoria Yillah doit sa guérison à son puissant système immunitaire et un bon suivi médical, car il n'existe aucun médicament ni vaccin contre la fièvre Ebola, maladie hautement contagieuse et souvent mortelle. La Sierra Leone a annoncé le 26 mai son premier cas confirmé d'Ebola.
Le pays a depuis lors enregistré 46 cas confirmés et 76 cas suspects dont 17 décès, selon un bilan officiel communiqué cette semaine. La maladie est déclarée depuis janvier en Guinée voisine, où elle a entraîné plus de 200 décès. Le virus de la fièvre Ebola, découvert en 1976 dans l'actuelle République démocratique du Congo (RDC, ex-Zaïre), peut être transmis à l'homme par des animaux sauvages, et d'homme à homme par des contacts directs.
La fièvre Ebola, souvent mortelle, se traduit par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. Les chances de survie augmentent pour les malades s'ils sont hydratés.
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