Tout en reconnaissant que le secteur a encore "une marge de progression réelle", sur le continent, le très discret homme d’affaires, aujourd’hui principalement actif dans l’immobilier et l’hôtellerie, annonçait que la concentration allait s’accélérer sur le continent.
Et que seuls les très grands groupes pouvaient faire face aux nouvelles contraintes « liées au renouvellement des licences 2G, à l’acquisition des licences 3G et 4G et à l’optimisation des coûts d’exploitation conséquents aux baisses de tarifs.
Comment expliquer alors son revirement ? A moins qu’il ne s’agisse pour lui, qui a fait fortune en revendant l’opérateur qui est devenu MTN Cote d’Ivoire, de faire un coup : participer à l’acquisition aujourd’hui et se retirer plus tard ,en dégageant une belle plus-value.
D’autant que Tigo Sénégal (3,9 millions d’abonnés en septembre 2016), qui dispute la deuxième place sur le marché sénégalais à Expresso (propriété du Soudanais Sudatel), est présenté comme une belle endormie : grâce à de nouveaux investissements, sa croissance pourrait rapidement s’accélérer.
Dans l’entourage de Yérim Sow, qui mènerait un intense lobbying pour faire aboutir l’acquisition, on assure que c’est un vrai investissement dans le secteur qu’il n’avait pas totalement quitté- il a conservé une participation de moins de 10% dans MTN Cote d’Ivoire.
Et que son partenariat avec Xavier Niel, fondateur de l’opérateur français Free et Hassanein Hiridjee - dont les détails ne sont pas encore connus – pourrait s’étendre à d’autre pays. Millicom, qui est en train de se retirer du continent pourrait par exemple, lui céder sa filiale Tigo Ghana
Jeune Afrique
Et que seuls les très grands groupes pouvaient faire face aux nouvelles contraintes « liées au renouvellement des licences 2G, à l’acquisition des licences 3G et 4G et à l’optimisation des coûts d’exploitation conséquents aux baisses de tarifs.
Comment expliquer alors son revirement ? A moins qu’il ne s’agisse pour lui, qui a fait fortune en revendant l’opérateur qui est devenu MTN Cote d’Ivoire, de faire un coup : participer à l’acquisition aujourd’hui et se retirer plus tard ,en dégageant une belle plus-value.
D’autant que Tigo Sénégal (3,9 millions d’abonnés en septembre 2016), qui dispute la deuxième place sur le marché sénégalais à Expresso (propriété du Soudanais Sudatel), est présenté comme une belle endormie : grâce à de nouveaux investissements, sa croissance pourrait rapidement s’accélérer.
Dans l’entourage de Yérim Sow, qui mènerait un intense lobbying pour faire aboutir l’acquisition, on assure que c’est un vrai investissement dans le secteur qu’il n’avait pas totalement quitté- il a conservé une participation de moins de 10% dans MTN Cote d’Ivoire.
Et que son partenariat avec Xavier Niel, fondateur de l’opérateur français Free et Hassanein Hiridjee - dont les détails ne sont pas encore connus – pourrait s’étendre à d’autre pays. Millicom, qui est en train de se retirer du continent pourrait par exemple, lui céder sa filiale Tigo Ghana
Jeune Afrique