Lisant une déclaration de ces dernières citées, elle a rappelé l’entente et la cohésion du groupe depuis la création de la fédération, avec des femmes leaders du département, en 2015 et chacune totalisant dix ans d’expériences dans le secteur. Ainsi, le décompte donne 195 organisations de femmes comptant 14.915 adhérentes des 16 collectivités territoriales de Mbour. Leurs activités sont tournées vers la transformation des céréales et des fruits et légumes. Celle des produits halieutiques, l’aviculture, le maraîchage et la pisciculture...
La fédération s’est muée en holding, disposant d’un terrain de 5000 mètres-carrés, offert par la commune de Sandiara. La première pierre de cette structure a été posée en février 2017. Des résultats jugés satisfaisants ont suivi, avec la mise en place de neuf (9) unités artisanales, des formations à l’Institut de technologie alimentaire (ITA) financées par le Programme d’urgences pour le développement communautaire (PUDC).
Des problèmes de financement constituent un goulot d’étranglement pour elles. Elles ont le regret de voir des attentes en vers la DER rester vaines, du fait du refus de la structure de leur octroyer un fonds de roulement pour l’accompagnement de leurs activités de production et la construction d’un magasin de stockage départemental.
Les propositions faites par cette structure ne les ont pas agréées ; la DER veut leur donner, en lieu et place, des équipements du matériel. Les structures bancaires leur proposent des financements pour un an remboursables, difficiles à rembourser, selon elles, car la recherche de matière peut leur prendre des mois ou la moitié de l’année.
Les financements souhaités, selon la présidente, Madame Lo, auraient pu participer à la rentabilisation des 9 unités artisanales de production mises en place. Pour l’émergence du développement dans un département rural et agricole en partie, et un développement durable, elles réclament un appui des autorités pour la mise à disposition de ce fonds de roulement.
La fédération s’est muée en holding, disposant d’un terrain de 5000 mètres-carrés, offert par la commune de Sandiara. La première pierre de cette structure a été posée en février 2017. Des résultats jugés satisfaisants ont suivi, avec la mise en place de neuf (9) unités artisanales, des formations à l’Institut de technologie alimentaire (ITA) financées par le Programme d’urgences pour le développement communautaire (PUDC).
Des problèmes de financement constituent un goulot d’étranglement pour elles. Elles ont le regret de voir des attentes en vers la DER rester vaines, du fait du refus de la structure de leur octroyer un fonds de roulement pour l’accompagnement de leurs activités de production et la construction d’un magasin de stockage départemental.
Les propositions faites par cette structure ne les ont pas agréées ; la DER veut leur donner, en lieu et place, des équipements du matériel. Les structures bancaires leur proposent des financements pour un an remboursables, difficiles à rembourser, selon elles, car la recherche de matière peut leur prendre des mois ou la moitié de l’année.
Les financements souhaités, selon la présidente, Madame Lo, auraient pu participer à la rentabilisation des 9 unités artisanales de production mises en place. Pour l’émergence du développement dans un département rural et agricole en partie, et un développement durable, elles réclament un appui des autorités pour la mise à disposition de ce fonds de roulement.