«Le stress hydrique, qui se mesure schématiquement par le rapport entre l’utilisation d’eau et les réserves disponibles, affecte de nombreuses régions du monde (figure P2). Plus de 2 milliards de personnes vivent dans des pays soumis à un stress hydrique (ONU, 2018).
Toutefois, la pénurie d’eau constitue souvent un phénomène saisonnier plutôt qu’un phénomène annuel, comme en atteste la variabilité saisonnière de la disponibilité de l’eau (figure P3). », poursuit le rapport qui indique, en outre, que «Près de 1,6 milliard de personnes subissent une pénurie d’eau « économique », ce qui signifie que même si l’eau est physiquement disponible, cette population ne dispose pas des infrastructures nécessaires pour y accéder (Comprehensive Assessment of Water Management in Agriculture, 2007). »
Gestion durable des ressources en eau : ces obstacles qui risquent…
Dans le rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2021, publié de 21 mars 2022, l’UNESCO qui informe que les ressources en eau douce de l’Afrique représentent près de 9 % des ressources en eau douce mondiales, note toutefois des obstacles à l’atteintes de l’Objectif 6 de développement durable (ODD), comprise dans la Vision africaine de l’eau pour 2025.
Celui-ci, faudrait-il le rappeler, propose un cadre visant à renforcer la sécurité de l’approvisionnement en eau et la gestion durable des ressources en eau. «Toutefois, un certain nombre d’obstacles freinent la réalisation de l’objectif 6 des ODD sur le continent africain.
Parmi ces obstacles figurent la croissance démographique rapide, une gouvernance de l’eau et des dispositions institutionnelles inappropriées, l’épuisement des ressources en eau par la pollution, la dégradation de l’environnement, la déforestation et le manque de financement durable des investissements dans les services d’approvisionnement en eau et d’assainissement. », peut-on lire sur le résumé dudit rapport qui liste les menaces à l’atteinte de l’Objectif 6.
« En Afrique subsaharienne, poursuit la note, l’évaluation de la valeur de l’eau constitue un véritable défi pour beaucoup de chercheurs et d’experts du développement, en raison, entre autres, du manque de données historiques de référence. Les chercheurs qui étudient la valeur de l’eau ont donc privilégié le recours au prix réel payé ou au consentement à payer du point de vue du consommateur en adoptant la méthode de l’évaluation contingente.
Les études sur la valeur de l’eau en Afrique subsaharienne portent surtout jusqu’à présent sur l’utilisation de l’eau à des fins domestiques », indique le résumé du rapport publié ce jour.
Toutefois, la pénurie d’eau constitue souvent un phénomène saisonnier plutôt qu’un phénomène annuel, comme en atteste la variabilité saisonnière de la disponibilité de l’eau (figure P3). », poursuit le rapport qui indique, en outre, que «Près de 1,6 milliard de personnes subissent une pénurie d’eau « économique », ce qui signifie que même si l’eau est physiquement disponible, cette population ne dispose pas des infrastructures nécessaires pour y accéder (Comprehensive Assessment of Water Management in Agriculture, 2007). »
Gestion durable des ressources en eau : ces obstacles qui risquent…
Dans le rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2021, publié de 21 mars 2022, l’UNESCO qui informe que les ressources en eau douce de l’Afrique représentent près de 9 % des ressources en eau douce mondiales, note toutefois des obstacles à l’atteintes de l’Objectif 6 de développement durable (ODD), comprise dans la Vision africaine de l’eau pour 2025.
Celui-ci, faudrait-il le rappeler, propose un cadre visant à renforcer la sécurité de l’approvisionnement en eau et la gestion durable des ressources en eau. «Toutefois, un certain nombre d’obstacles freinent la réalisation de l’objectif 6 des ODD sur le continent africain.
Parmi ces obstacles figurent la croissance démographique rapide, une gouvernance de l’eau et des dispositions institutionnelles inappropriées, l’épuisement des ressources en eau par la pollution, la dégradation de l’environnement, la déforestation et le manque de financement durable des investissements dans les services d’approvisionnement en eau et d’assainissement. », peut-on lire sur le résumé dudit rapport qui liste les menaces à l’atteinte de l’Objectif 6.
« En Afrique subsaharienne, poursuit la note, l’évaluation de la valeur de l’eau constitue un véritable défi pour beaucoup de chercheurs et d’experts du développement, en raison, entre autres, du manque de données historiques de référence. Les chercheurs qui étudient la valeur de l’eau ont donc privilégié le recours au prix réel payé ou au consentement à payer du point de vue du consommateur en adoptant la méthode de l’évaluation contingente.
Les études sur la valeur de l’eau en Afrique subsaharienne portent surtout jusqu’à présent sur l’utilisation de l’eau à des fins domestiques », indique le résumé du rapport publié ce jour.