Une Zimbabwéenne de 40 ans a décidé de bafouer les traditions et la religion et se dit prête à épouser son propre fils de 23 ans. Le couple incestueux, qui prétend s’aimer, vient d’officialiser l’union, samedi 7 septembre. La mère est enceinte de 6 mois.
Des faits improbables, incroyables même, pourtant vrais. Betty Mbereko et Farai Mbereko, respectivement mère et fils, ont adopté un nouveau statut et sont devenus mari et femme. L’histoire inceste se passe au Zimbabwe. Le comble est que la mère et le fils entretiennent des relations sexuelles depuis deux ans. Et aujourd’hui, la femme, plutôt la mère attend un bébé de son fils. Tout cela donne des frissons, mais pas aux deux personnes qui trouvent normal de se marier. Car, « on s’aime », disent-ils.
Une relation qui date
Betty Mbereko a perdu son mari il y a douze ans et a depuis refusé d’épouser le frère de son défunt époux, comme le veut la tradition au Zimbabwe. Et depuis deux ans, selon les déclarations de la quadragénaire, elle entretient des relations de tous genres avec son fils Farai Mbereko, âgé de 23 ans. Une relation qui a provoqué l’indignation des sages qui renient les deux personnes, les invitant à quitter le village. Surtout que la famille devrait s’agrandir dans quelques mois, avec la naissance prochaine du bébé que porte la mère dans son ventre. Cette dernière se dit pourtant amoureuse de son fils et ne pas comprendre le tollé que suscite leur union.
Elle veut « profiter des fruits de sa sueur »
Après l’officialisation de leur union, la mère et le fils ont été convoqués par le Conseil des sages qui constituent le tribunal du village. Mais la mère, décidément envoûtée, aurait déclaré qu’elle trouvait légitime, après avoir élevé son fils seule, de récolter le fruit de ses efforts. « Je m’efforçais seule d’envoyer mon fils à l’école et personne ne m’a aidé. Maintenant, vous voyez que mon fils travaille et vous m’accusez de faire quelque chose de mal. Permettez-moi de profiter des produits de ma sueur », a-t-elle déclaré devant les juges abasourdis. Le fils fait autant en déclarant la légitimité de son couple formé avec sa mère. Pour lui, le fait d’officialiser leur relation doit pouvoir faire cesser les accusations d’inceste portées sur eux. « Il vaut mieux faire connaître ce qui se passe, parce que les gens doivent savoir que je suis l’auteur de la grossesse de ma mère pour ne pas qu’elle soit accusée d’inceste », a-t-il déclaré devant les juges.
Le chef du village d’où est originaire le couple banni, Nathan Muputirwa, a déclaré : « nous ne pouvons pas permettre que cela arrive dans notre village (…) Dans le passé, ils devaient être tués, mais aujourd’hui nous ne pouvons pas le faire, parce que nous avons peur de la police ». Et le chef du village a ordonné au couple incestueux de rompre immédiatement leur relation ou de quitter au plus vite sa localité. Face à cet ultimatum, le couple a choisi la deuxième option. Reste à savoir s’ils seront en paix là où ils comptent déposer leurs valises.
Une relation qui date
Betty Mbereko a perdu son mari il y a douze ans et a depuis refusé d’épouser le frère de son défunt époux, comme le veut la tradition au Zimbabwe. Et depuis deux ans, selon les déclarations de la quadragénaire, elle entretient des relations de tous genres avec son fils Farai Mbereko, âgé de 23 ans. Une relation qui a provoqué l’indignation des sages qui renient les deux personnes, les invitant à quitter le village. Surtout que la famille devrait s’agrandir dans quelques mois, avec la naissance prochaine du bébé que porte la mère dans son ventre. Cette dernière se dit pourtant amoureuse de son fils et ne pas comprendre le tollé que suscite leur union.
Elle veut « profiter des fruits de sa sueur »
Après l’officialisation de leur union, la mère et le fils ont été convoqués par le Conseil des sages qui constituent le tribunal du village. Mais la mère, décidément envoûtée, aurait déclaré qu’elle trouvait légitime, après avoir élevé son fils seule, de récolter le fruit de ses efforts. « Je m’efforçais seule d’envoyer mon fils à l’école et personne ne m’a aidé. Maintenant, vous voyez que mon fils travaille et vous m’accusez de faire quelque chose de mal. Permettez-moi de profiter des produits de ma sueur », a-t-elle déclaré devant les juges abasourdis. Le fils fait autant en déclarant la légitimité de son couple formé avec sa mère. Pour lui, le fait d’officialiser leur relation doit pouvoir faire cesser les accusations d’inceste portées sur eux. « Il vaut mieux faire connaître ce qui se passe, parce que les gens doivent savoir que je suis l’auteur de la grossesse de ma mère pour ne pas qu’elle soit accusée d’inceste », a-t-il déclaré devant les juges.
Le chef du village d’où est originaire le couple banni, Nathan Muputirwa, a déclaré : « nous ne pouvons pas permettre que cela arrive dans notre village (…) Dans le passé, ils devaient être tués, mais aujourd’hui nous ne pouvons pas le faire, parce que nous avons peur de la police ». Et le chef du village a ordonné au couple incestueux de rompre immédiatement leur relation ou de quitter au plus vite sa localité. Face à cet ultimatum, le couple a choisi la deuxième option. Reste à savoir s’ils seront en paix là où ils comptent déposer leurs valises.