Si certains proches de l’Agent de sécurité de Proximité (ASP) gardent la sérénité et l’espoir, la maman de «l’otage», inconsolable, est plongée dans une inquiétude totale. Le temps passe et Barthélémy Diatta n’est toujours pas libéré. L’ASP enlevé le dimanche 23 janvier dernier, boucle un mois aux mains de ses ravisseurs. L’affaire, loin de connaître un dénouement heureux, est plongée dans un statu quo qui inquiète véritablement les proches de «l’otage», qui avaient pourtant nourri beaucoup d’espoir aux premiers jours de son enlèvement par des éléments rebelles.
L’inquiétude va crescendo chez sa famille, et plus particulièrement chez la maman de l’otage, surtout que le père de Barthélémy Diatta, Omer Diatta, ancien PCR d’Oukout, avait été tué dans les mêmes conditions, par des éléments rebelles dans la zone, il y a quelques années.
Nous étions le dimanche 23 janvier, lorsque, dans la mi-journée, Barthélémy Diatta, accompagné de ses proches, disparaît dans la forêt de Santhiaba Manjack, alors qu’il se rendait dans leur champ. L’enlèvement sera revendiqué par des éléments rebelles, qui amènent leur otage vers une destination inconnue, dans la forêt. Les autorités coutumières avaient activé les leviers de la médiation, pour la libération de l’ASP. Mais depuis, la machine est grippée ; difficile aujourd’hui de cerner les raisons de ce blocage des négociations sur la libération de l’Agent de la sécurité de proximité.
L’IDENTITE DES RAVISSEURS DE BARTHELEMY DIATTA CONNUE
Toutefois, on en sait un peu plus sur l’identité des ravisseurs de l’Agent de la sécurité de proximité, Barthélémy Diatta. Il s’agit de la faction rebelle contrôlée par Louis Enrich, un des anciens lieutenants de César Atoute Badiate, qui a sonné la dissidence. Ce sont ses hommes qui ont opéré le coup de l’enlèvement de l’ASP.
Un kidnapping que les hommes du chef rebelle César Atoute Badiate ont désapprouvé avec la dernière énergie. Les divergences entre les deux camps rebelles, sur cet enlèvement, avaient même suscité des craintes quant à de possibles représailles de la part des hommes de César, qui réclamaient la libération immédiate de l’ASP.
Des négociateurs et médiateurs avaient sollicité l’intervention d’Ousmane Tamba, membre de l’aile politique basée en Suisse, pour interférer auprès de Louis Enrich pour la libération de Barthélemy Diatta. Mais, les choses trainent, pour ne pas dire bloquées. Aujourd’hui, si certains s’expliquent difficilement cet enlèvement, d’autres y voient «un chantage» des ravisseurs pour s’affirmer, après qu’ils ont tourné le dos à la faction de César A. Badiate.
En attendant, le statu quo entoure ce dossier de kidnapping, qui plonge tout le Kassa dans l’inquiétude la plus totale. Qu’est-ce qui bloque la libération de l’ASP Barthélemy Diatta ? La question continue d’être agitée par les populations de la zone et les proches de l’ASP qui n’a plus donné de ses nouvelles, depuis quelques jours.
L’inquiétude va crescendo chez sa famille, et plus particulièrement chez la maman de l’otage, surtout que le père de Barthélémy Diatta, Omer Diatta, ancien PCR d’Oukout, avait été tué dans les mêmes conditions, par des éléments rebelles dans la zone, il y a quelques années.
Nous étions le dimanche 23 janvier, lorsque, dans la mi-journée, Barthélémy Diatta, accompagné de ses proches, disparaît dans la forêt de Santhiaba Manjack, alors qu’il se rendait dans leur champ. L’enlèvement sera revendiqué par des éléments rebelles, qui amènent leur otage vers une destination inconnue, dans la forêt. Les autorités coutumières avaient activé les leviers de la médiation, pour la libération de l’ASP. Mais depuis, la machine est grippée ; difficile aujourd’hui de cerner les raisons de ce blocage des négociations sur la libération de l’Agent de la sécurité de proximité.
L’IDENTITE DES RAVISSEURS DE BARTHELEMY DIATTA CONNUE
Toutefois, on en sait un peu plus sur l’identité des ravisseurs de l’Agent de la sécurité de proximité, Barthélémy Diatta. Il s’agit de la faction rebelle contrôlée par Louis Enrich, un des anciens lieutenants de César Atoute Badiate, qui a sonné la dissidence. Ce sont ses hommes qui ont opéré le coup de l’enlèvement de l’ASP.
Un kidnapping que les hommes du chef rebelle César Atoute Badiate ont désapprouvé avec la dernière énergie. Les divergences entre les deux camps rebelles, sur cet enlèvement, avaient même suscité des craintes quant à de possibles représailles de la part des hommes de César, qui réclamaient la libération immédiate de l’ASP.
Des négociateurs et médiateurs avaient sollicité l’intervention d’Ousmane Tamba, membre de l’aile politique basée en Suisse, pour interférer auprès de Louis Enrich pour la libération de Barthélemy Diatta. Mais, les choses trainent, pour ne pas dire bloquées. Aujourd’hui, si certains s’expliquent difficilement cet enlèvement, d’autres y voient «un chantage» des ravisseurs pour s’affirmer, après qu’ils ont tourné le dos à la faction de César A. Badiate.
En attendant, le statu quo entoure ce dossier de kidnapping, qui plonge tout le Kassa dans l’inquiétude la plus totale. Qu’est-ce qui bloque la libération de l’ASP Barthélemy Diatta ? La question continue d’être agitée par les populations de la zone et les proches de l’ASP qui n’a plus donné de ses nouvelles, depuis quelques jours.