Après la pénurie de l’oignon, ce sont les autres produits qui commencent à briller par leur rareté. Trouver une goutte d’essence était devenue ces derniers jours un vrai parcours du combattant, dans la plupart des stations à essence de la ville les pompes étaient à sec. Et comme si cela ne suffisait, le gaz était introuvable.
Les populations avaient ailleurs pris d’assaut certains dépôts de gaz pour se procurer la bombonne de gaz. Aussitôt arrivé, le stock de gaz s’est épuisé. Aujourd’hui, les prix flambent au grand dam des populations qui semblent abandonnées à elles mêmes, si l’on en croit certains acteurs économiques.
Pour le Président de l’UNACCOIS/JAPPO Mame Birame Ndiaye, l’Etat doit trouver des solutions à cette situation économiquement désastreuse.
«Nous craignons le pire les jours à venir. Aujourd’hui, nous lançons l’alerte pour prendre les devants avant que cela ne soit tard», a déclaré le commerçant. Mais aujourd’hui la situation est d’autant plus difficile pour les commerçants que l’acheminement de certains produits reste une vraie problématique.
Le conditionnement et l’acheminement des mangues par voie terrestre reste difficile. «Acheminer les mangues par la route dans les camions en cette période de chaleur reste un calvaire. Les mangues pourrissent sur les routes», déplore Ansoumana Sagna qui réclame la reprise des dessertes maritimes, seule solution pour se débarrasser de ces genres d’impairs.
Les navires toujours suspendus, la région est toujours isolée sur la voie maritime. Déjà , le bateau Aline Sitoe Diatta qui était sur le point de reprendre ses rotations est resté au quai après la résurgence des manifestations, nées de l’arrestation suivie du placement sous mandat de dépôt de Ousmane Sonko, qui avaient replongé Ziguinchor et sa région dans une situation d’étouffement, d’enclavement.
Le plaidoyer pour la reprise des rotations des bateaux et des bus «Sénégal Dem Dikk» ne faiblit toujours pas. « La région est-elle abandonnée à elle-même ? », s’interrogent certains à Ziguinchor qui s’expliquent difficilement la posture de l’Etat face à cette situation que vit la région
Sud Quotidien
Les populations avaient ailleurs pris d’assaut certains dépôts de gaz pour se procurer la bombonne de gaz. Aussitôt arrivé, le stock de gaz s’est épuisé. Aujourd’hui, les prix flambent au grand dam des populations qui semblent abandonnées à elles mêmes, si l’on en croit certains acteurs économiques.
Pour le Président de l’UNACCOIS/JAPPO Mame Birame Ndiaye, l’Etat doit trouver des solutions à cette situation économiquement désastreuse.
«Nous craignons le pire les jours à venir. Aujourd’hui, nous lançons l’alerte pour prendre les devants avant que cela ne soit tard», a déclaré le commerçant. Mais aujourd’hui la situation est d’autant plus difficile pour les commerçants que l’acheminement de certains produits reste une vraie problématique.
Le conditionnement et l’acheminement des mangues par voie terrestre reste difficile. «Acheminer les mangues par la route dans les camions en cette période de chaleur reste un calvaire. Les mangues pourrissent sur les routes», déplore Ansoumana Sagna qui réclame la reprise des dessertes maritimes, seule solution pour se débarrasser de ces genres d’impairs.
Les navires toujours suspendus, la région est toujours isolée sur la voie maritime. Déjà , le bateau Aline Sitoe Diatta qui était sur le point de reprendre ses rotations est resté au quai après la résurgence des manifestations, nées de l’arrestation suivie du placement sous mandat de dépôt de Ousmane Sonko, qui avaient replongé Ziguinchor et sa région dans une situation d’étouffement, d’enclavement.
Le plaidoyer pour la reprise des rotations des bateaux et des bus «Sénégal Dem Dikk» ne faiblit toujours pas. « La région est-elle abandonnée à elle-même ? », s’interrogent certains à Ziguinchor qui s’expliquent difficilement la posture de l’Etat face à cette situation que vit la région
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