"Le jour où nous rassemblerons 500 mille personnes, nous parviendrons à démontrer à Macky que rien ne va dans ce pays", a dit Ousmane Sonko pendant la conférence de presse des leaders de la coalition Yewwi Askan Wi. En plus du rassemblement prévu par les leaders de cette coalition de l'opposition à Dakar, Ousmane Sonko annonce des marches dans tous les départements du pays. Cela, avec ou sans autorisation. "C'est moi qui en donne l'ordre. Qu'ils viennent m'arrêter. Macky ne peut pas faire le tour du pays à des fins politiques au point de s'interroger sur sa défaite à Sédhiou et nous interdire tout mouvement", dit-il.
"Le lendemain 15 mars, nous organiserons des marches dans les 46 départements pour dénoncer les injustices, les attestations arbitraires et la justice qui est manipulée par le chef de l'État. Sortez avec ou sans autorisation. Les préfets et sous-préfets sont des subalternes. Je parle avec Macky Sall. Arrivera ce qui arrivera, mais ce sera à la guerre comme à la guerre", a menacé le leader du Pastef.
D’après Seneweb, il appelle ainsi "tous les Sénégalais épris de justice". La population doit faire face et montrer à la face du monde qu'elle a une souveraineté, explique-t-il. Il précise tout de même qu'il n'appelle pas à un coup d'État, encore moins à une guerre civile, mais c'est la Constitution qui autorise à manifester son désaccord via un rassemblement populaire.
"Le lendemain 15 mars, nous organiserons des marches dans les 46 départements pour dénoncer les injustices, les attestations arbitraires et la justice qui est manipulée par le chef de l'État. Sortez avec ou sans autorisation. Les préfets et sous-préfets sont des subalternes. Je parle avec Macky Sall. Arrivera ce qui arrivera, mais ce sera à la guerre comme à la guerre", a menacé le leader du Pastef.
D’après Seneweb, il appelle ainsi "tous les Sénégalais épris de justice". La population doit faire face et montrer à la face du monde qu'elle a une souveraineté, explique-t-il. Il précise tout de même qu'il n'appelle pas à un coup d'État, encore moins à une guerre civile, mais c'est la Constitution qui autorise à manifester son désaccord via un rassemblement populaire.