Les habitants de Médinatoul Mounawar, dans la commune de Yeumbeul Nord sont en colère contre la Sen’Eau. Selon eux, la société ne les satisfait pas du tout. C’est pourquoi ils sont descendus dans la rue pour interpeller l’État sur leur situation devenue insoutenable. «Le problème que nous avons ici c’est le manque d’eau, tous les habitants de ce quartier n’ont pas accès à l’eau.
Depuis l’arrivée de Sen’Eau, nous vivons dans des difficultés extrêmes. Ça fait des mois que le robinet ne coule pas ou bien très rarement. Parfois, il faut se lever à 2h du matin pour avoir quelques bidons d’eau. Franchement, c’est difficile et nous voulons vraiment un appui», interpelle l’imam de la mosquée du quartier.
Pour Imam Samba, au-delà du manque criant d’eau, les factures deviennent plus chères. «Ma facture du mois dépasse 50 000 FCFA. Ce n’est pas normal parce que nous ne pouvons pas rester sans eau et payer des factures aussi chères», affirme avec désolation Imam Samba Gaye.
Parmi la population sortie dans la rue pour dénoncer ce manque d’eau, les femmes au foyer sont au premier plan. «La situation est intenable. La situation est extrêmement difficile surtout pendant le mois de ramadan. Nous vivons le calvaire. C’est pourquoi les autorités en charge de l’eau dans ce pays doivent faire quelque chose pour nous avant que la situation ne soit intenable», affirme Sokhna Awa Guèye Sall.
Depuis l’arrivée de Sen’Eau, nous vivons dans des difficultés extrêmes. Ça fait des mois que le robinet ne coule pas ou bien très rarement. Parfois, il faut se lever à 2h du matin pour avoir quelques bidons d’eau. Franchement, c’est difficile et nous voulons vraiment un appui», interpelle l’imam de la mosquée du quartier.
Pour Imam Samba, au-delà du manque criant d’eau, les factures deviennent plus chères. «Ma facture du mois dépasse 50 000 FCFA. Ce n’est pas normal parce que nous ne pouvons pas rester sans eau et payer des factures aussi chères», affirme avec désolation Imam Samba Gaye.
Parmi la population sortie dans la rue pour dénoncer ce manque d’eau, les femmes au foyer sont au premier plan. «La situation est intenable. La situation est extrêmement difficile surtout pendant le mois de ramadan. Nous vivons le calvaire. C’est pourquoi les autorités en charge de l’eau dans ce pays doivent faire quelque chose pour nous avant que la situation ne soit intenable», affirme Sokhna Awa Guèye Sall.