La demoiselle Kh. Nd. a réussi à faire extirper des griffes de la justice son amant de charretier L. F. Celui-ci a été interpellé, puis présenté, hier, devant le procureur de la République du tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye pour détournement de mineure suivie de grossesse par les hommes du commissaire de police, Ibrahima Diouf. Quand les parents de la fille ont appris la relation d’amour, ils ont exprimé leur vive désapprobation, fustigé l’attitude de leur enfant et mis en garde le jeune garçon. Ils ont activé aussi les autorités coutumières et religieuses locales de Yeumbeul Bène Baraque, notamment l’Imam et la Badjénou Gokh, aux fins d’intervenir et, par ricochet, mettre un terme à la relation. Ces derniers ont joué pleinement leur partition et se sont rendus chez les parents du jeune garçon, pour qu’ils raisonnent leur fils.
L’adolescente tombe enceinte de 7 mois, défie l’autorité de ses parents et fait du boucan
Mais, la jeune fille se rebelle, monte en première ligne et rassure son amant. Elle lui demande de tenir bon, vitrifie l’attitude de sa famille et se paie le luxe de braver l’autorité de ses parents par des escapades et autres sorties galantes avec son étalon dans des endroits discrets. De fil en aiguille, elle contracte une grossesse de 7 mois des œuvres de son prince charmant, l’en informe et décide de garder l’enfant. Ses proches découvrent la grossesse, se mettent dans tous leurs états et déposent une plainte pour détournement de mineure suivie de grossesse sur la table du commissaire Ibrahima Diouf. L’officier de police judiciaire ouvre une enquête, démarre les auditions et convoque les deux amoureux.
Elle disculpe son petit-ami, dit s’être donnée volontiers à lui et engage le combat pour sa libération
Dans sa déposition, la fille innocente son amant et affirme avoir entretenu des rapports sexuels, de manière consentante, avec son homme. Celui-ci embouche la même trompette, revendique son amour sincère pour la gamine et s’engage à l’épouser, après accouchement. Mais, vu que le charretier a affaire à une mineure de 16 ans, le flic enquêteur écarte le délit pénal de viol, lui notifie les charges de détournement de mineure suivie de grossesse et le place en garde-à -vue. L’adolescente apprend la nouvelle, se défoule sur sa famille et jure de faire libérer l’élu de son cœur. Elle engage d’abord une désobéissance caractérisée à ses parents, abandonne ses études scolaires et décide de porter le combat pour la libération immédiate de son petit-ami.
Elle fait pression sur les autorités et leur adresse une lettre-menace de suicide ; la police reste ferme
Craignant le pire pour son amant, soufflent nos informateurs, l’adolescente rédige une lettre qu’elle adresse personnellement à la Badjénou Gokh de Bène Baraque et au limier en charge du dossier et dans laquelle missive elle menace de se suicider par empoisonnement, si jamais le commissaire Diouf défère au parquet le charretier. Elle a fait pareil avec d’autres autorités étatiques de la banlieue et s’est rendue hier au commissariat de police de Yeumbeul pour voir si les flics vont présenter son petit-ami devant le procureur. De véritables pressions exercées sur les autorités. Cependant, les flics ont fait preuve de fermeté et respecté la loi pénale en la matière, en déférant le jeune garçon.
L’amant relâché hier après déferrement, à la faveur d’une liberté provisoire (Lp) accordée par le Procureur
Déterminée à faire libérer son amoureux sous peine de se suicider par empoisonnement, la petite devance les limiers au tribunal de Pikine/Guédiawaye, se retire dans un endroit et guette la réaction du procureur de la République, qui desserre l’étau judiciaire autour du mis en cause et lui accorde la liberté provisoire (Lp). Ceci au grand bonheur du couple d’amants, sous les yeux médusés de l’assistance. Tout est bien…
Vieux Père NDIAYE
jotaay.net
L’adolescente tombe enceinte de 7 mois, défie l’autorité de ses parents et fait du boucan
Mais, la jeune fille se rebelle, monte en première ligne et rassure son amant. Elle lui demande de tenir bon, vitrifie l’attitude de sa famille et se paie le luxe de braver l’autorité de ses parents par des escapades et autres sorties galantes avec son étalon dans des endroits discrets. De fil en aiguille, elle contracte une grossesse de 7 mois des œuvres de son prince charmant, l’en informe et décide de garder l’enfant. Ses proches découvrent la grossesse, se mettent dans tous leurs états et déposent une plainte pour détournement de mineure suivie de grossesse sur la table du commissaire Ibrahima Diouf. L’officier de police judiciaire ouvre une enquête, démarre les auditions et convoque les deux amoureux.
Elle disculpe son petit-ami, dit s’être donnée volontiers à lui et engage le combat pour sa libération
Dans sa déposition, la fille innocente son amant et affirme avoir entretenu des rapports sexuels, de manière consentante, avec son homme. Celui-ci embouche la même trompette, revendique son amour sincère pour la gamine et s’engage à l’épouser, après accouchement. Mais, vu que le charretier a affaire à une mineure de 16 ans, le flic enquêteur écarte le délit pénal de viol, lui notifie les charges de détournement de mineure suivie de grossesse et le place en garde-à -vue. L’adolescente apprend la nouvelle, se défoule sur sa famille et jure de faire libérer l’élu de son cœur. Elle engage d’abord une désobéissance caractérisée à ses parents, abandonne ses études scolaires et décide de porter le combat pour la libération immédiate de son petit-ami.
Elle fait pression sur les autorités et leur adresse une lettre-menace de suicide ; la police reste ferme
Craignant le pire pour son amant, soufflent nos informateurs, l’adolescente rédige une lettre qu’elle adresse personnellement à la Badjénou Gokh de Bène Baraque et au limier en charge du dossier et dans laquelle missive elle menace de se suicider par empoisonnement, si jamais le commissaire Diouf défère au parquet le charretier. Elle a fait pareil avec d’autres autorités étatiques de la banlieue et s’est rendue hier au commissariat de police de Yeumbeul pour voir si les flics vont présenter son petit-ami devant le procureur. De véritables pressions exercées sur les autorités. Cependant, les flics ont fait preuve de fermeté et respecté la loi pénale en la matière, en déférant le jeune garçon.
L’amant relâché hier après déferrement, à la faveur d’une liberté provisoire (Lp) accordée par le Procureur
Déterminée à faire libérer son amoureux sous peine de se suicider par empoisonnement, la petite devance les limiers au tribunal de Pikine/Guédiawaye, se retire dans un endroit et guette la réaction du procureur de la République, qui desserre l’étau judiciaire autour du mis en cause et lui accorde la liberté provisoire (Lp). Ceci au grand bonheur du couple d’amants, sous les yeux médusés de l’assistance. Tout est bien…
Vieux Père NDIAYE
jotaay.net