Avant leur mort, Abdul Jalil al-Ashhab, 19 ans, Mohammed Said al-Uqri, 27 ans, et Ghaleb al-Rashdi, également âgé de 19 ans, ont été menottés et exhibés devant la foule.
Ils ont ensuite été exécutés par un peloton d’exécution avant d’être suspendus dans les airs. Selon les médias locaux, les trois coupables avaient kidnappé le jeune garçon alors qu’il se rendait chez sa grand-mère dans le village de Na’wa le 29 octobre. Après avoir torturé et violé le garçon, ils l’ont étranglé et caché son corps dans une maison abandonnée.
Au Yémen et dans le Sud de l’Arabie saoudite, la peine capitale est récurrente pour les cas violents tels que le meurtre, le viol et le terrorisme. Le pays a l’un des taux d’exécution les plus élevés au monde. La plupart des condamnations à mort sont exécutées par un peloton d’exécution, tandis que la lapidation, bien qu’étant rare, est possible en vertu de la procédure pénale et du droit pénal.
La peine de mort peut également être utilisée pour des délits tels que l’adultère, l’inconduite sexuelle, la sodomie, la prostitution, le blasphème et l’apostasie.
Une cinquantaine de pays dans le monde y compris la Chine, le Japon, le Pakistan et la Thaïlande pratiquent toujours la peine de mort. Les États-Unis sont le seul pays du G7, à le pratiquer. Un total de 31 États sont toujours passibles de la peine de mort.
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