En conséquence, l’homme fort de la Gambie s’est encore attaqué aux occidentaux qui défendent les homosexuels, qui ne sont pas les bienvenus dans son pays.
Toutefois, il certifie que, «L’homosexualité n’est pas africaine, elle n’est pas humaine». Par contre, le président Jammeh « trouve qu’il est important de le dire, car, c’est une menace pour l’humanité. L’homosexualité ne sera pas tolérée dans ce pays. Les Occidentaux peuvent dire ce qu’ils veulent, et s’ils les veulent tant [les homosexuels, NDLR], qu’ils fassent venir des avions ici et qu’ils les ramènent dans leurs pays. Qu’ils viennent les chercher, je ne les y empêcherai pas ».
L’homme fort de Banjul a toujours condamné l’homosexualité et les opposants à son régime, dont certains ont été réprimés, emprisonnés, tués. Pourtant, Yaya Jammeh a assumé tous ses actes et même les minimises, «Où est le problème ? Des gens qui meurent en détention ou durant des interrogatoires, c’est commun ». Pour la question de l’Amnesty International ou du Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon qui réclament l’ouverture d’une enquête sur ces crimes, l’homme fort de la Gambie leur dit « d’aller en enfer » car persiste-t-il de dire, « je ne ferais aucune enquête ».
Yaya Jammeh peut toutefois se vanter de ce qu’il présente comme bilan à la tête du pays pendant deux décennies. Il dit avoir réussi la «scolarisation de son pays (86%), l’espérance de vie (60,2 ans), son système de santé, l’ordre qui y règne.
Senenews.com
Toutefois, il certifie que, «L’homosexualité n’est pas africaine, elle n’est pas humaine». Par contre, le président Jammeh « trouve qu’il est important de le dire, car, c’est une menace pour l’humanité. L’homosexualité ne sera pas tolérée dans ce pays. Les Occidentaux peuvent dire ce qu’ils veulent, et s’ils les veulent tant [les homosexuels, NDLR], qu’ils fassent venir des avions ici et qu’ils les ramènent dans leurs pays. Qu’ils viennent les chercher, je ne les y empêcherai pas ».
L’homme fort de Banjul a toujours condamné l’homosexualité et les opposants à son régime, dont certains ont été réprimés, emprisonnés, tués. Pourtant, Yaya Jammeh a assumé tous ses actes et même les minimises, «Où est le problème ? Des gens qui meurent en détention ou durant des interrogatoires, c’est commun ». Pour la question de l’Amnesty International ou du Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon qui réclament l’ouverture d’une enquête sur ces crimes, l’homme fort de la Gambie leur dit « d’aller en enfer » car persiste-t-il de dire, « je ne ferais aucune enquête ».
Yaya Jammeh peut toutefois se vanter de ce qu’il présente comme bilan à la tête du pays pendant deux décennies. Il dit avoir réussi la «scolarisation de son pays (86%), l’espérance de vie (60,2 ans), son système de santé, l’ordre qui y règne.
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