Il n’a pas perdu du temps, pour apporter la réplique au Secrétaire général du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics).
En effet, vingt-quatre heures après que Ibrahima Khaliloulah Ndiaye est monté au créneau, pour l’accuser d’être à l’origine du blocage de l’adoption du nouveau Code de la presse, le Secrétaire d’Etat à la Communication, en l’occurrence Yaxam Mbaye, a déclaré, dans le journal Le Quotidien, “ma première réaction est de dire que le propos de Ibrahima Khaliloulah Ndiaye m’a choqué”, parce que c’est un ami et entre nous, le contact n’a jamais été rompu et nous avons l’habitude de nous parler.
“Ce qui me permet d’affirmer que pas une seule fois, au cours de nos entretiens, il n’a eu à me faire cas d’une quelconque manoeuvre, dont j’aurais été l’instigateur et qu’il aurait apprise”, dit Yaxam Mbaye.
Désireux de remettre les points sur les “i”, ce dernier déclare à qui veut l’entendre ne pas être un homme de manoeuvres. Et puis, souligne-t-il : “cela me choque, parce que c’est comme si je serais partisan de l’incrustation des tares qui menacent cette corporation”.
En effet, vingt-quatre heures après que Ibrahima Khaliloulah Ndiaye est monté au créneau, pour l’accuser d’être à l’origine du blocage de l’adoption du nouveau Code de la presse, le Secrétaire d’Etat à la Communication, en l’occurrence Yaxam Mbaye, a déclaré, dans le journal Le Quotidien, “ma première réaction est de dire que le propos de Ibrahima Khaliloulah Ndiaye m’a choqué”, parce que c’est un ami et entre nous, le contact n’a jamais été rompu et nous avons l’habitude de nous parler.
“Ce qui me permet d’affirmer que pas une seule fois, au cours de nos entretiens, il n’a eu à me faire cas d’une quelconque manoeuvre, dont j’aurais été l’instigateur et qu’il aurait apprise”, dit Yaxam Mbaye.
Désireux de remettre les points sur les “i”, ce dernier déclare à qui veut l’entendre ne pas être un homme de manoeuvres. Et puis, souligne-t-il : “cela me choque, parce que c’est comme si je serais partisan de l’incrustation des tares qui menacent cette corporation”.