La communication de l’Exécutif souffre de trois maux, principalement. C’est d’abord un problème d’organisation dans la diffusion des messages. Il faut qu’entre nous-mêmes, nous puissions toujours partager", a dit M. Mbaye. "Il faut qu’il y ait une interaction et plus de communication entre les ministres. Il n’y a pas de communication entre les ministres mais, ce n’est pas une tare ou quelque choses d’irrémédiable ; on y travaille pour corriger les manquements. Il faut que chaque ministère puisse communiquer en temps voulu, parce qu’il y a une différence entre communication et réaction. Il y a un déficit de communication entre les ministères. Et il faut améliorer le partage de l’information en notre sein pour que la communication soit optimale", a-t-il déclaré dans L'Obs.
L'ancien directeur de publication du journal "Libération" de poursuivre : "Il y a ensuite, un autre problème indépendant de notre volonté, c’est le contexte politique ou politicien. Nous avons une opposition pugnace qui, parfois, nous entraîne sur le terrain des polémiques stériles. Et ces polémiques ont parfois la vertu de masquer l’essentiel. Et parfois, c’est cela qui intéresse la presse devant des choses plus intéressantes comme la baisse du prix du loyer… Je pense qu’il faut aussi discipliner la prise de parole pour éviter des déclarations intempestives…".
L'ancien directeur de publication du journal "Libération" de poursuivre : "Il y a ensuite, un autre problème indépendant de notre volonté, c’est le contexte politique ou politicien. Nous avons une opposition pugnace qui, parfois, nous entraîne sur le terrain des polémiques stériles. Et ces polémiques ont parfois la vertu de masquer l’essentiel. Et parfois, c’est cela qui intéresse la presse devant des choses plus intéressantes comme la baisse du prix du loyer… Je pense qu’il faut aussi discipliner la prise de parole pour éviter des déclarations intempestives…".