Des pêcheurs, originaires de Toubab Dialaw, sont portés disparus depuis quelques jours. Une situation qui hante le sommeil de l'Association des pêcheurs. L'État est appelé à mettre à disposition des bateaux marins pour faciliter la recherche. L'Association des pêcheurs vit dans l'inquiétude et l'incertitude depuis 5 jours.
Des jeunes garçons issus de Toubab Dialaw, âgés de moins de 30 ans, sont portés disparus en mer au large de Yarakh. Gagnés par la peur et le doute, parents, amis et collègues interpellent la marine nationale pour secourir ces disparus dans les plus brefs délais. El Hadji Bara, Président de l’Association des pêcheurs: « Nous avons perdu de vue une de nos pirogues qui avait quitté vers 23h et devait revenir le jeudi vers 00h. Nos éléments étaient partis à leur recherche le jeudi et sont revenus le vendredi sans aucune nouvelle. Nous avons débloqué nos fonds pour l'achat d'essence afin de sauver nos frères. Le lieu de pêche est à 113 km de Dakar, c’est pourquoi nous ne pouvons pas y accéder».
Las d’attendre, ces piroguiers interpellent l'État, car « il est de son ressort de veiller à notre sécurité. Nous lui demandons de mettre à notre disposition des bateaux et des avions pour faciliter la recherche ». Pour l’heure, les recherches se poursuivent. A Yarakh, tout le monde prie, informe "Rewmi".
Des jeunes garçons issus de Toubab Dialaw, âgés de moins de 30 ans, sont portés disparus en mer au large de Yarakh. Gagnés par la peur et le doute, parents, amis et collègues interpellent la marine nationale pour secourir ces disparus dans les plus brefs délais. El Hadji Bara, Président de l’Association des pêcheurs: « Nous avons perdu de vue une de nos pirogues qui avait quitté vers 23h et devait revenir le jeudi vers 00h. Nos éléments étaient partis à leur recherche le jeudi et sont revenus le vendredi sans aucune nouvelle. Nous avons débloqué nos fonds pour l'achat d'essence afin de sauver nos frères. Le lieu de pêche est à 113 km de Dakar, c’est pourquoi nous ne pouvons pas y accéder».
Las d’attendre, ces piroguiers interpellent l'État, car « il est de son ressort de veiller à notre sécurité. Nous lui demandons de mettre à notre disposition des bateaux et des avions pour faciliter la recherche ». Pour l’heure, les recherches se poursuivent. A Yarakh, tout le monde prie, informe "Rewmi".