Un ressortissant français, âgé de 82 ans répondant au nom de Jean Nicolas Printz, a été retrouvé mort, hier lundi dans sa chambre sise au quartier 106 Daroukhane de la commune de Wakhinane Nimzatt de Guédiawaye.
Le défunt avait quitté sa ville natale de Saint-Avold en France pour venir s'installer à Dakar, dans la banlieue, rapporte « Les Échos ». C'est en début de matinée d’hier lundi, vers 9 heures qu'un des voisins de maison du défunt s’est rendu dans les locaux du poste de police de Wakhinane Nimzatt pour alerter les policiers de la découverte du corps sans vie du ressortissant français dans sa chambre.
Sans tarder, ils se sont déplacés sur les lieux, accompagnés des sapeurs-pompiers de la compagnie de Guédiawaye. Sur place, ils ont remarqué que le défunt était allongé sur le dos et ne présente aucune trace de violence apparente, mais que la porte de la chambre n'était pas refermée à clef.
Après l’audition des voisins par les enquêteurs, il est ressorti que Jean Nicolas Printz vivait seul dans sa chambre et souffrait aussi de prostate depuis de longues années qu’il traitait au centre hospitalier Roi Baudouin de Guédiawaye.
Par ailleurs, les autorités judiciaires du pays, mais aussi le représentant de l'ambassadeur de France au Sénégal ont été alertés. Toutefois, le corps sans vie a été acheminé à la morgue d'un centre hospitalier aux fins d'une autopsie. Mais, en attendant de disposer des conclusions du rapport du certificat de genre de mort, la thèse de la mort naturelle semble être privilégiée.
Le défunt avait quitté sa ville natale de Saint-Avold en France pour venir s'installer à Dakar, dans la banlieue, rapporte « Les Échos ». C'est en début de matinée d’hier lundi, vers 9 heures qu'un des voisins de maison du défunt s’est rendu dans les locaux du poste de police de Wakhinane Nimzatt pour alerter les policiers de la découverte du corps sans vie du ressortissant français dans sa chambre.
Sans tarder, ils se sont déplacés sur les lieux, accompagnés des sapeurs-pompiers de la compagnie de Guédiawaye. Sur place, ils ont remarqué que le défunt était allongé sur le dos et ne présente aucune trace de violence apparente, mais que la porte de la chambre n'était pas refermée à clef.
Après l’audition des voisins par les enquêteurs, il est ressorti que Jean Nicolas Printz vivait seul dans sa chambre et souffrait aussi de prostate depuis de longues années qu’il traitait au centre hospitalier Roi Baudouin de Guédiawaye.
Par ailleurs, les autorités judiciaires du pays, mais aussi le représentant de l'ambassadeur de France au Sénégal ont été alertés. Toutefois, le corps sans vie a été acheminé à la morgue d'un centre hospitalier aux fins d'une autopsie. Mais, en attendant de disposer des conclusions du rapport du certificat de genre de mort, la thèse de la mort naturelle semble être privilégiée.