VIPEOPLES.NET Wade en veut visiblement à ses deux ex premiers ministre Macky Sall Idrissa Seck. Mais c'est le dernier nommé qui a l'air d'avoir le plus fait mal à son ex mentor. Dans une interview accordée à Rfi le Pape du Sopi a dit ce qu'il pense de son ex "fils".
"Idrissa Seck je l’ai entendu il y a deux jours. Il a été très critique contre Macky Sall. Il l’a matraqué. Mais il a dit non il n’ira pas à l’aéroport (pour l’accueil) mais enfin ses militants iront m’accueillir. C’est dommage, il aurait du venir me recevoir. Idrissa Seck c’était mon fils politique. S’il y a eu quelqu’un qui pouvait être un dauphin, c’était lui. Mais c’est lui qui m’a le plus combattu par la suite. Il y a ce que j’appelle la tragédie des premiers ministres en Afrique. Ils sont toujours très pressés. Quelqu’un fait de vous un premier ministre et vous voulez tout de suite le bousculer et prendre sa place. Et c’est Idrissa Seck qui a déclenché toute cette opération à savoir si je pouvais ou non me représenter (à la présidentielles de 2012). Cette opération sur ma candidature a été déclenchée par Idrissa Seck », a déclaré Abdoulaye Wade dans un entretien accordé à la Radio France Internationale.
"Idrissa Seck je l’ai entendu il y a deux jours. Il a été très critique contre Macky Sall. Il l’a matraqué. Mais il a dit non il n’ira pas à l’aéroport (pour l’accueil) mais enfin ses militants iront m’accueillir. C’est dommage, il aurait du venir me recevoir. Idrissa Seck c’était mon fils politique. S’il y a eu quelqu’un qui pouvait être un dauphin, c’était lui. Mais c’est lui qui m’a le plus combattu par la suite. Il y a ce que j’appelle la tragédie des premiers ministres en Afrique. Ils sont toujours très pressés. Quelqu’un fait de vous un premier ministre et vous voulez tout de suite le bousculer et prendre sa place. Et c’est Idrissa Seck qui a déclenché toute cette opération à savoir si je pouvais ou non me représenter (à la présidentielles de 2012). Cette opération sur ma candidature a été déclenchée par Idrissa Seck », a déclaré Abdoulaye Wade dans un entretien accordé à la Radio France Internationale.