En l’espèce, le prévenu A. B se faisait passer pour l’huissier de justice, Me Basile Diouf. Il dressait des procès-verbaux de constations et d’assignation au nom de ce dernier.
Employé, pendant cinq ans dans son cabinet, il sera licencié pour les mêmes faits. Au lieu de se repentir, il récidive. Et comme, il avait volé le cachet et la clé Usb de son employeur au moment de son départ du cabinet, il continue des actes délictuels. Il lui suffit de tirer un formulaire de procès-verbal dans la clé et d’y apposer le cachet pour soutirer de l’argent auprès de ses victimes.
Mais, ses mauvais agissements ont mal tourné au cours de ce mois d’Octobre, après avoir dressé un procès-verbal de constatations à un certain D. M au prix de 35 mille francs Cfa.
Attrait devant le tribunal ce mardi, pour des chefs de vol, d’usurpation de fonction, de faux et usage de faux en écriture publique authentique et d’escroquerie, le faussaire n’est pas passé par mille chemins pour reconnaître ses agissements délictuels, avant de s’excuser. Il avait même du mal à prononcer un seul mot devant le prétoire.
Alors qu’à l’enquête préliminaire, il avait tenté d’expliquer son comportement par les vicissitudes de la vie, en soulignant qu’il devait acheter des fournitures scolaires pour son fils.
Mais comme l’aveu est la reine des preuves, le représentant du Ministère public, a demandé l’application de la loi, sans pour autant faire son réquisitoire.
Il sera suivi par la défense qui a sollicité la clémence du juge. « Quand on a tort, on ne parle pas fort, je pense que le tribunal l’a compris. C’est un délinquant primaire, je vous demande de ne pas en rajouter à son calvaire », plaide l’un de ses conseils.
Après que le parquet a demandé l’application de la loi contre le prévenu, le juge a fixé le délibéré au 6 novembre prochain.
Employé, pendant cinq ans dans son cabinet, il sera licencié pour les mêmes faits. Au lieu de se repentir, il récidive. Et comme, il avait volé le cachet et la clé Usb de son employeur au moment de son départ du cabinet, il continue des actes délictuels. Il lui suffit de tirer un formulaire de procès-verbal dans la clé et d’y apposer le cachet pour soutirer de l’argent auprès de ses victimes.
Mais, ses mauvais agissements ont mal tourné au cours de ce mois d’Octobre, après avoir dressé un procès-verbal de constatations à un certain D. M au prix de 35 mille francs Cfa.
Attrait devant le tribunal ce mardi, pour des chefs de vol, d’usurpation de fonction, de faux et usage de faux en écriture publique authentique et d’escroquerie, le faussaire n’est pas passé par mille chemins pour reconnaître ses agissements délictuels, avant de s’excuser. Il avait même du mal à prononcer un seul mot devant le prétoire.
Alors qu’à l’enquête préliminaire, il avait tenté d’expliquer son comportement par les vicissitudes de la vie, en soulignant qu’il devait acheter des fournitures scolaires pour son fils.
Mais comme l’aveu est la reine des preuves, le représentant du Ministère public, a demandé l’application de la loi, sans pour autant faire son réquisitoire.
Il sera suivi par la défense qui a sollicité la clémence du juge. « Quand on a tort, on ne parle pas fort, je pense que le tribunal l’a compris. C’est un délinquant primaire, je vous demande de ne pas en rajouter à son calvaire », plaide l’un de ses conseils.
Après que le parquet a demandé l’application de la loi contre le prévenu, le juge a fixé le délibéré au 6 novembre prochain.