De plus en plus l’inquiétude gagne les populations de Ngeugeuth, village situé dans la commune de Pire Gourey, département de Tivaouane. A l’origine, la lancinante question du vol du bétail. Un phénomène récurrent dans plusieurs villages de ce département où l’on enregistre à longueur d’année des conflits, souvent violents, entre éleveurs et agriculteurs. Les populations riveraines qui sollicitent l’intervention des autorités compétentes s’offusquent du fait qu’ « il ne se passe pratiquement pas une seule semaine sans que des séances de pugilat ne soient signalés », relève Cheikh Kane, porte-parole des populations de Ngeugeuth et conseiller municipal à Pire, relate LeTémoin.
Ce « malgré les efforts fournis par les associations d’éleveurs très bien organisées en leur sein ». Un état de fait d’autant plus inquiétant que les populations de la zone, qui ne parviennent plus à dormir du sommeil du juste, se disent « dépassées » au point de penser appeler d’urgence les autorités à réagir pour enrayer le phénomène. Cheikh Kane souligne que « le vol de bétail s’amplifie de jour en jour dans le département où il ne se passe pas une seule semaine sans qu’un cas de vol de bétail ne soit signalé. Nous sommes constitués en association d’éleveurs mais malgré cela le phénomène s’amplifie chaque jour que Dieu fait ».
À cela s’ajoute « l’équation de la divagation des animaux dans les champs qui inquiète vraiment tout le monde, parce que souvent source de conflits entre éleveurs et agriculteurs. En fin de compte, éleveurs et agriculteurs sollicitent l’aide de l’État » selon Cheikh Kane.
Ce « malgré les efforts fournis par les associations d’éleveurs très bien organisées en leur sein ». Un état de fait d’autant plus inquiétant que les populations de la zone, qui ne parviennent plus à dormir du sommeil du juste, se disent « dépassées » au point de penser appeler d’urgence les autorités à réagir pour enrayer le phénomène. Cheikh Kane souligne que « le vol de bétail s’amplifie de jour en jour dans le département où il ne se passe pas une seule semaine sans qu’un cas de vol de bétail ne soit signalé. Nous sommes constitués en association d’éleveurs mais malgré cela le phénomène s’amplifie chaque jour que Dieu fait ».
À cela s’ajoute « l’équation de la divagation des animaux dans les champs qui inquiète vraiment tout le monde, parce que souvent source de conflits entre éleveurs et agriculteurs. En fin de compte, éleveurs et agriculteurs sollicitent l’aide de l’État » selon Cheikh Kane.