Les victimes, Oumar Faye et Laye Hanne, n’oublieront pas de sitôt le tour que leur a joué leur ami et camarade étudiant, Matar Wade. Partageant une chambre avec ce dernier, celui-ci leur a toujours paru calme et toujours aux petits soins durant les quatre ans qu’ils ont partagé la chambre. Les trois amis profitaient des weekends pour visiter leurs proches dans Dakar et y passer la nuit.
C’est ainsi que le mis en cause est venu un jour leur annoncer qu’il allait déménager chez sa tante, qui vit seule avec ses deux enfants à la Sicap Foire. Il prend ainsi toutes ses affaires et quitte les lieux tout en étant en de bons termes avec ses deux camarades. Perdu de vue depuis son départ, il n’est plus revenu voir ses amis, qui avaient même oublié qu’il détenait des clefs de la chambre. Il a ainsi profité de leur absence pour vider la chambre, en emportant la télévision écran plat, des vêtements, le ‘’frigo bar’’, le matelas ainsi qu’une somme de 150 000 FCfa qu’un des étudiants avait gardée dans sa valise.
Son forfait réussi, il disparaît et ferme son portable. Cependant, pensant avoir été victimes d’un cambriolage, les deux amis avaient fini par faire leur deuil de ce vol. C’est de façon fortuite qu’un de leurs amis, qui était au courant du vol, leur a appris qu’il a trouvé chez le mis en cause, qu’il avait rencontré par hasard et qui l’avait invité chez lui, des objets qui leur appartenait. Sans tarder, détaille "Le Témoin", les deux victimes ont été avisées et se sont déployées sur les lieux. En prenant le soin d’avertir la police.
Face aux limiers, le mis en cause a reconnu les faits qui lui sont reprochés. « J’ai commis ce vol, car j’étais dans le besoin. J’avais rejoint ma tante. Mais quelques temps après, j’avais décidé de chercher une chambre, car je ne me sentais pas à l’aise chez elle. Après avoir trouvé une chambre, je n’avais pas les moyens d’acheter un matelas. C’est ainsi que j’ai eu l’idée d’aller visiter la chambre de mes copains puisque je détenais les clefs. J’ai loué un taxi clando qui m’a aidé à transporter les bagages. Cependant le chauffeur ignorait que je commettais un vol. Il croyait que j’étais en déménagement. Je regrette mon acte », a-t-il confessé. Après avoir passé aux aveux, il a été déféré au parquet.
C’est ainsi que le mis en cause est venu un jour leur annoncer qu’il allait déménager chez sa tante, qui vit seule avec ses deux enfants à la Sicap Foire. Il prend ainsi toutes ses affaires et quitte les lieux tout en étant en de bons termes avec ses deux camarades. Perdu de vue depuis son départ, il n’est plus revenu voir ses amis, qui avaient même oublié qu’il détenait des clefs de la chambre. Il a ainsi profité de leur absence pour vider la chambre, en emportant la télévision écran plat, des vêtements, le ‘’frigo bar’’, le matelas ainsi qu’une somme de 150 000 FCfa qu’un des étudiants avait gardée dans sa valise.
Son forfait réussi, il disparaît et ferme son portable. Cependant, pensant avoir été victimes d’un cambriolage, les deux amis avaient fini par faire leur deuil de ce vol. C’est de façon fortuite qu’un de leurs amis, qui était au courant du vol, leur a appris qu’il a trouvé chez le mis en cause, qu’il avait rencontré par hasard et qui l’avait invité chez lui, des objets qui leur appartenait. Sans tarder, détaille "Le Témoin", les deux victimes ont été avisées et se sont déployées sur les lieux. En prenant le soin d’avertir la police.
Face aux limiers, le mis en cause a reconnu les faits qui lui sont reprochés. « J’ai commis ce vol, car j’étais dans le besoin. J’avais rejoint ma tante. Mais quelques temps après, j’avais décidé de chercher une chambre, car je ne me sentais pas à l’aise chez elle. Après avoir trouvé une chambre, je n’avais pas les moyens d’acheter un matelas. C’est ainsi que j’ai eu l’idée d’aller visiter la chambre de mes copains puisque je détenais les clefs. J’ai loué un taxi clando qui m’a aidé à transporter les bagages. Cependant le chauffeur ignorait que je commettais un vol. Il croyait que j’étais en déménagement. Je regrette mon acte », a-t-il confessé. Après avoir passé aux aveux, il a été déféré au parquet.
Ndèye Fatou Kébé