Dans la Une de son édition d’hier, « Le Témoin » quotidien avait ainsi titré : « La nouvelle devise de l’Etat : Faiblesse restera à la loi ! ». Nous ne savions si bien dire, parce que s’il existe dans ce monde un pays qui refuse de se moderniser et persiste à cultiver la misère, c’est bel et bien le Sénégal ! Un pays où la loi et les règlements de la République ne s’appliquent qu’aux riverains et automobilistes des Sicap Liberté, Sacré-Cœur et autres quartiers de Dakar-Plateau.
Allez à Touba, Diourbel, Kaolack et autres localités en rase campagne, vous verrez que les véhicules basiques des années 50, 60 et 70, sont toujours en circulation. Et sans visite technique, ni police d’assurance ! Et surtout au niveau de la banlieue dakaroise, où la majorité écrasante des taxis clandos sont composés de voitures anciennes ou de collection : Renault 10, Renault 4, Renault 7, Peugeot 104, Citroën Ami 8, Peugeot 404 « Mbar », Renault Dauphine, Renault 5, camionnettes « auto-zinc » ou « auto nadio », etc…
Le triste constat : la plupart de ces anciens modèles âgés aujourd’hui de plus de 50 ans et transformés en taxis « clandos » et camionnettes de fruits et légumes, sont toujours en circulation à Dakar et sa banlieue. Et précisément sur les axes Guédiawaye, Malika, Pikine, Rufisque, Diamaguène, Thiaroye, Mboro, etc., sans être inquiétés par les policiers et gendarmes. Pour lesquels, au contraire, ces guimbardes constituent une aubaine ! Pis, ces vieilles voitures aux châssis pourris jusqu’à la moelle, se servent de bouteilles en plastique « Kirène » comme réservoir d’essence. D’ailleurs courant 2015, un journaliste français de passage au Sénégal, confiait au quotidien « Le Témoin » que des responsables du « Groupe Renault » avaient décidé de venir à Dakar pour faire un documentaire sur ce « cimetière roulant » de Dakar, où reposent voire circulent les plus vieilles voitures de l’histoire automobile française. Sans doute avec une plaque tombale du genre : « Ici à Dakar circule R10. Décédée en 1970 en France ».
Les réalisateurs de documentaires peuvent toujours venir constater de visu que ces modèles dits « 404 Mbar », « 504 » « R-10 », « R-4 » et autres « Ami 8 », continuent toujours de transporter impunément des personnes. Oui, des personnes vivantes ! Billahi, Sénégal dou dém ! (Le Sénégal n’avance pas).
Le Témoin
Allez à Touba, Diourbel, Kaolack et autres localités en rase campagne, vous verrez que les véhicules basiques des années 50, 60 et 70, sont toujours en circulation. Et sans visite technique, ni police d’assurance ! Et surtout au niveau de la banlieue dakaroise, où la majorité écrasante des taxis clandos sont composés de voitures anciennes ou de collection : Renault 10, Renault 4, Renault 7, Peugeot 104, Citroën Ami 8, Peugeot 404 « Mbar », Renault Dauphine, Renault 5, camionnettes « auto-zinc » ou « auto nadio », etc…
Le triste constat : la plupart de ces anciens modèles âgés aujourd’hui de plus de 50 ans et transformés en taxis « clandos » et camionnettes de fruits et légumes, sont toujours en circulation à Dakar et sa banlieue. Et précisément sur les axes Guédiawaye, Malika, Pikine, Rufisque, Diamaguène, Thiaroye, Mboro, etc., sans être inquiétés par les policiers et gendarmes. Pour lesquels, au contraire, ces guimbardes constituent une aubaine ! Pis, ces vieilles voitures aux châssis pourris jusqu’à la moelle, se servent de bouteilles en plastique « Kirène » comme réservoir d’essence. D’ailleurs courant 2015, un journaliste français de passage au Sénégal, confiait au quotidien « Le Témoin » que des responsables du « Groupe Renault » avaient décidé de venir à Dakar pour faire un documentaire sur ce « cimetière roulant » de Dakar, où reposent voire circulent les plus vieilles voitures de l’histoire automobile française. Sans doute avec une plaque tombale du genre : « Ici à Dakar circule R10. Décédée en 1970 en France ».
Les réalisateurs de documentaires peuvent toujours venir constater de visu que ces modèles dits « 404 Mbar », « 504 » « R-10 », « R-4 » et autres « Ami 8 », continuent toujours de transporter impunément des personnes. Oui, des personnes vivantes ! Billahi, Sénégal dou dém ! (Le Sénégal n’avance pas).
Le Témoin