Pour le ministère guinéen de la justice, cité par visionguinee.info, l’arrestation de Toumba Diakité a été réalisée grâce aux efforts des autorités guinéennes et à la coopération du Sénégal et de la France. Si Toumba Diakité se promenait à Dakar sous le nom d’Aboubacar Barry, sans être mis aux arrêtés, cela est dû au fait que la Guinée n’avait pas, à l’époque, aboli la peine de mort.
‘’La Guinée a décerné un mandat d’arrêt international. Certaines puissances disaient que la Guinée a la peine de mort. C’est maintenant que les gens commencent à collaborer avec nous’’, a confirmé Ibrahima Béavogui, chargé de communication du ministère de la justice, interrogé dans Œil de lynx.
‘’La peine de mort existait dans notre code pénal. Maintenant, elle n’existe plus’’, précise-t-il. ‘’En France, il n’y a pas de peine de mort. On ne pouvait pas faire l’extradition ou l’exécution d’un mandat dans un pays où vous n’avez pas les mêmes ordres juridiques’’.
A la question de savoir le degré d’implication de la Guinée dans l’arrestation de Toumba Diakité, M. Béavogui répond : ‘’Le ministère de la justice est naturellement impliqué quand il s’agit d’un mandat d’arrêt international. Car le mandat d’arrêt a été décerné par les juges guinéens depuis longtemps. C’est ce mandat qui a été exécuté’’.
Ibrahima Beavogui rassure que le procès sur le massacre du 28 septembre aura lieu en Guinée l’année prochaine. Si le dossier a pris du temps, argue-t-il, c’est parce que pour reconstituer les faits dans une telle affaire, ce n’est pas un ou deux jours.
‘’La Guinée a décerné un mandat d’arrêt international. Certaines puissances disaient que la Guinée a la peine de mort. C’est maintenant que les gens commencent à collaborer avec nous’’, a confirmé Ibrahima Béavogui, chargé de communication du ministère de la justice, interrogé dans Œil de lynx.
‘’La peine de mort existait dans notre code pénal. Maintenant, elle n’existe plus’’, précise-t-il. ‘’En France, il n’y a pas de peine de mort. On ne pouvait pas faire l’extradition ou l’exécution d’un mandat dans un pays où vous n’avez pas les mêmes ordres juridiques’’.
A la question de savoir le degré d’implication de la Guinée dans l’arrestation de Toumba Diakité, M. Béavogui répond : ‘’Le ministère de la justice est naturellement impliqué quand il s’agit d’un mandat d’arrêt international. Car le mandat d’arrêt a été décerné par les juges guinéens depuis longtemps. C’est ce mandat qui a été exécuté’’.
Ibrahima Beavogui rassure que le procès sur le massacre du 28 septembre aura lieu en Guinée l’année prochaine. Si le dossier a pris du temps, argue-t-il, c’est parce que pour reconstituer les faits dans une telle affaire, ce n’est pas un ou deux jours.